yearling [ 'jɶrliŋ ] n. m.
• 1864; mot angl., proprt « d'un an (year) »
♦ Anglic. Cheval pur sang âgé d'un an.
● yearling nom masculin (anglais yearling, qui a un an) Cheval de race pure âgé de un an.
yearling
n. m. (Anglicisme) Poulain pur-sang âgé d'un an.
⇒YEARLING, subst. masc.
HIPP. Cheval pur-sang âgé d'un an. Voici sept ans que je vis avec vos chevaux (...) vos yearlings (...) ou vos toquards (...) que je connais (...) leurs faiblesses, leurs qualités (VIALAR, Éperon arg., 1952, p. 151).
Prononc.:[
]. Le yearling. Un yearling, des yearlings, sans liaison. Un beau yearling, sans substitution de bel. Étymol. et Hist. 1861 terme en it. glosé « poulain d'un an » (Revue des Deux Mondes, 15 nov., 286 ds HÖFLER Anglic.); 1864 (Le Jockey, 29 nov., 2a, ibid.). Empr. à l'angl. yearling, dér. de year « année », att. dep. 1465 et désignant un être vivant, le plus souvent un animal, âgé d'un an ou dans sa deuxième année (NED). Bbg. BECKER 1970, p. 296, 333. — BONN. 1920, p. 174. — QUEM. DDL t. 12.
]. Le yearling. Un yearling, des yearlings, sans liaison. Un beau yearling, sans substitution de bel. Étymol. et Hist. 1861 terme en it. glosé « poulain d'un an » (Revue des Deux Mondes, 15 nov., 286 ds HÖFLER Anglic.); 1864 (Le Jockey, 29 nov., 2a, ibid.). Empr. à l'angl. yearling, dér. de year « année », att. dep. 1465 et désignant un être vivant, le plus souvent un animal, âgé d'un an ou dans sa deuxième année (NED). Bbg. BECKER 1970, p. 296, 333. — BONN. 1920, p. 174. — QUEM. DDL t. 12.
yearling [jœʀliŋ] n. m.
ÉTYM. 1864; mot angl., « d'un an », de year « an ».
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♦ Cheval pur sang âgé d'un an.
1 L'existence du cheval de courses commence, pour beaucoup de pur-sang et les meilleurs des trotteurs, dans un haras plus ou moins réputé. Il y passe ses premiers mois sous l'appellation que lui ont donnée les Anglais : foal, c'est-à-dire poulain ou pouliche. Au 1er janvier suivant, il est qualifié de yearling, car tous les chevaux sont réputés prendre leur âge uniformément à ce moment précis. Vers la fin de cette année-là, il est présenté à la vente (…)
P. Arnoult, les Courses de chevaux, p. 75.
2 Mais Étienne Balsan ne s'embarrassait pas de règles, et, ne jugeant les hommes qu'à leur poids de connaissances équestres, il n'est pas étonnant qu'il ait eu pour ami un Maurice Caillault aux modestes origines, moustachu sans élégance, mais si unique dans sa manière de juger des yearlings, qu'associé au comte de Pourtalès, il avait réussi à battre les plus illustres éleveurs sur leur propre terrain.
Edmonde Charles-Roux, l'Irrégulière, p. 170.
Encyclopédie Universelle. 2012.