● capet nom masculin En Suisse, calotte d'armailli, de religieux.
CAPET
n. m. Acronyme pour certificat d'aptitude professionnelle à l'enseignement technique.
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CAPET
surnom d'Hugues Ier, fondateur de la dynastie capÉtienne.
⇒CAPET, subst. masc.
Région. (Petit) chapeau. J'ai pris ma cape et mon capet; Toute follette a son follet (G. SAND, La Petite Fadette, 1849, p. 114).
Prononc. :[
]. Étymol. et Hist. 1849, supra. Berr. capet « chapeau » (TISSIER), terme non autochtone, peut-être empr. aux formes en usage dans le Sud-Ouest (FEW t. 2, pp. 287b-288a, s.v. cappellus) Cf. en partic. béarnais-gascon capèt « chapeau » (PALAY), issu de cappellum avec évolution phonét. propre à ce dial. : -ll- devenu -t- à la fin du mot (G. ROHLFS, Le Gascon, Pau, 1970, § 468). Il semble moins probable que le berr. capet soit empr. au suisse romand capet « petit manteau » (Vaud), ce dernier dér. en -et de cape « manteau » (v. Pat. Suisse rom., s.v. capet et FEW t. 2, p. 277b, s.v. cappa). Fréq. abs. littér. :1. Bbg. BISE (G.). Gloss. du fr. région. ds la Haute-Broye fribourgeoise. Archivum romanicum. 1939, t. 23, p. 294.
]. Étymol. et Hist. 1849, supra. Berr. capet « chapeau » (TISSIER), terme non autochtone, peut-être empr. aux formes en usage dans le Sud-Ouest (FEW t. 2, pp. 287b-288a, s.v. cappellus) Cf. en partic. béarnais-gascon capèt « chapeau » (PALAY), issu de cappellum avec évolution phonét. propre à ce dial. : -ll- devenu -t- à la fin du mot (G. ROHLFS, Le Gascon, Pau, 1970, § 468). Il semble moins probable que le berr. capet soit empr. au suisse romand capet « petit manteau » (Vaud), ce dernier dér. en -et de cape « manteau » (v. Pat. Suisse rom., s.v. capet et FEW t. 2, p. 277b, s.v. cappa). Fréq. abs. littér. :1. Bbg. BISE (G.). Gloss. du fr. région. ds la Haute-Broye fribourgeoise. Archivum romanicum. 1939, t. 23, p. 294.
C. A. P. E. T. [kapɛt] n. m.
ÉTYM. 1965; sigle.
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♦ Certificat d'aptitude au professorat de l'enseignement technique.
Encyclopédie Universelle. 2012.