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⇒ALOYAGE, subst. masc.

A.— Action de donner l'aloi à l'or et à l'argent; résultat de cette action.

Rem. Attesté ds BESCH. 1845, Lar. 19^e, GUÉRIN 1892, Nouv. Lar. ill., QUILLET 1965 et Lar. Lang. fr.

B.— Alliage dont on se sert dans la fabrication des pots d'étain.

Rem. Attesté ds Ac. Compl. 1842, BESCH. 1845, LITTRÉ, GUÉRIN 1892, DG, Lar. Lang. fr.

Prononc. — Dernière transcription ds DG : à-lwà-'. LAND. 1834 transcrit : -loê-.

Étymol. ET HIST. — 1723 (SAVARY DES BRUSLONS, Dict. de Commerce : Alloyage. Terme en usage chez les potiers d'étain, pour signifier l'alliage ou mélange des métaux).

Dér. de aloyer; suff. -age.

BBG. — BÉL. 1957. — BOISS.⁸. — CHESN. 1857. — DUVAL 1959.

aloyage [alwajaʒ] n. m.

ÉTYM. 1723; de aloyer, var. de allier. → Aloi.

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♦ Techn. Vx. Fait de donner l'aloi (1.) à (un métal, l'or). — Mod. Opération par laquelle on traite (un alliage) à l'étain (pour le rendre moins fusible).