urédinales ou urédinées
n. f. pl. BOT Ordre de champignons basidiomycètes parasites responsables des rouilles des végétaux.
— Sing. Une urédinale ou une urédinée.
⇒URÉDINALES, URÉDINÉES, subst. fém. plur.
BOT. Ordre de Champignons basidiomycètes parasites de divers végétaux sur lesquels ils produisent des maladies connues sous le nom de rouilles. La question (...) ne tarda pas à se révéler dans l'étude des Urédinées, notamment de la rouille du blé (Hist. gén. sc., t. 3, vol. 1, 1961, p. 540). Les Urédinales (Rouilles) parasitent les organes verts de multiples plantes supérieures; leur cycle de développement comporte plusieurs stades (La Gde encyclop., Paris, Larousse, t. 8, 1972, p. 1501).
Prononc. et Orth.:[
], [-ne]. LITTRÉ: urédinés subst. masc. plur.ou urédinées subst. fém. plur. Étymol. et Hist. 1823 urédinées (Ad. BRONGNIART, Dict. class. d'hist. nat., t. 3, p. 461, s.v. champignons); 1964 urédinales (Lar. encyclop.). Dér. du lat. sc. uredo, nom générique donné par Persoon (1801) à des champignons auxquels on attribue la cause de la maladie des végétaux appelée par Pline uredo, génitif uredinis « nielle, charbon », de urere « brûler » (COTTEZ); suff. -inées, -ales.
], [-ne]. LITTRÉ: urédinés subst. masc. plur.ou urédinées subst. fém. plur. Étymol. et Hist. 1823 urédinées (Ad. BRONGNIART, Dict. class. d'hist. nat., t. 3, p. 461, s.v. champignons); 1964 urédinales (Lar. encyclop.). Dér. du lat. sc. uredo, nom générique donné par Persoon (1801) à des champignons auxquels on attribue la cause de la maladie des végétaux appelée par Pline uredo, génitif uredinis « nielle, charbon », de urere « brûler » (COTTEZ); suff. -inées, -ales.
ÉTYM. 1842, urédinées; urédinales, XXe; uredo, 1765, Encyclopédie; du lat. uredo « nielle, charbon », rac. urere « brûler », et suff. -inées.
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♦ Bot. Groupe de champignons basidiomycètes, à thalle filamenteux, parasites des plantes phanérogames où ils produisent la rouille. ⇒ Puccinie. — Sing. || Une urédinée, une urédinale.
Encyclopédie Universelle. 2012.