fendillement [ fɑ̃dijmɑ̃ ] n. m.
• 1841; de fendiller
♦ Action de se fendiller. Le fendillement de la peau. ⇒ gerçure. « un Christ Louis XIII encadré de chêne [...] avec des fendillements verticaux dans l'ivoire » (Montherlant).
● fendillement nom masculin Action de se fendiller ; fait d'être fendillé : Le fendillement du bois.
fendillement
n. m. Action de fendiller, de se fendiller; résultat de cette action.
⇒FENDILLEMENT, subst. masc.
Action de (se) fendiller; résultat de cette action. Un christ Louis XIII (...) avec des fendillements verticaux dans l'ivoire qui rappelaient les traînées de sueur et de sang (MONTHERL., Songe, 1922, p. 12). À l'air, ils [les ciments laitiers] perdent leur force par suite de leur fendillement et de l'évaporation de l'hydrate de chaux (BOURDE, Trav. publ., t. 1, 1928, p. 168).
Prononc. :[]. Étymol. et Hist. 1841 (BALZAC, U. Mirouët, p. 114). Dér. du rad. de fendiller; suff. -(e)ment1. Fréq. abs. littér. :2.
fendillement [fɑ̃dijmɑ̃] n. m.
ÉTYM. 1841; de fendiller.
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♦ Action de fendiller, de se fendiller; son résultat. || Le fendillement de la peau. ⇒ Gerçure.
0 C'était un Christ Louis XIII encadré de chêne, avec des reflets de chose mouillée qui ruisselle, avec des fendillements verticaux dans l'ivoire qui rappelaient les traînées de sueur et de sang.
Montherlant, le Songe, I, p. 18.
Encyclopédie Universelle. 2012.