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inter

1. inter [ ɛ̃tɛr ] n. m.
• 1920; abrév. de interurbain
♦ ⇒ interurbain. Appelez l'inter. inter 2. inter [ ɛ̃tɛr ] n. m.
• 1905; abrév. de intérieur
Sport Avant placé entre un ailier et l'avant-centre. « L'inter gauche [fut] trop personnel » (Montherlant).

inter nom masculin Abréviation de intérieur (au football) et de interurbain.

inter
MATH Abrév. de intersection, symbole mathématique.
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inter
n. m. Abrév. de interurbain.
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inter
n. m. SPORT Joueur de football placé entre l'ailier et l'avant-centre.

I.
⇒INTER1, subst. masc.
SPORTS (football). [Dans un type de formation d'attaque aujourd'hui abandonné] Attaquant placé entre un ailier et l'avant-centre. Inter gauche. Du côté rémois, une rentrée également : celle de l'inter droit Hanus (L'Œuvre, 30 mars 1941).
Prononc. : []. Étymol. et Hist. 1924 (MONTHERL., Olymp., p. 252). Abrév. de intérieur. Fréq. abs. littér. : 35.
II.
⇒INTERURBAIN, -AINE, adj. et subst. masc., INTER2, subst. masc.
TÉLÉCOMMUNICATIONS
A. — Adj. Qui permet la liaison d'une ville à une autre; qui est établi entre plusieurs villes. Indicatif, service, téléphone interurbain. Quelques établissements ont des lignes interurbaines qu'ils louent pour leur usage exclusif, et des communications à heures fixes avec leurs correspondants étrangers (BAUDHUIN, Crédit et banque, 1945, p. 138). Les communications téléphoniques interurbaines, autorisées au début provoquèrent de tels encombrements aux cabines publiques et sur les lignes, qu'elles furent totalement suspendues pendant quelques jours (CAMUS, Peste, 1947, p. 1272) :
La possibilité de relier entre elles automatiquement des villes parfois distantes de plusieurs centaines de kilomètres est relativement récente : c'est seulement en 1951 que la première liaison interurbaine automatique a été mise en service de Paris vers Fontainebleau.
Admin. P. et T., 1964, p. 27.
B. — Subst. masc. (L')interurbain (abrév. fam. (l')inter). Service téléphonique assurant les communications d'une ville à une autre. Demander l'inter (Ac. 1935). Un timbrage bleu, au coin du pneumatique, donnait l'adresse et aussi le téléphone : Paris et interurbain, coutume dont Augustin ignorait qu'elle était à cette date plus anglaise que parisienne (MALÈGUE, Augustin, t. 1, 1933, p. 304).
Prononc. et Orth. : [], fém. [-]. Att. ds Ac. 1935. Étymol. et Hist. 1. 1894 adj. (SACHS-VILLATTE, Französisch-deutsches Supplement-Lexikon ds QUEM. DDL t. 4); 2. 1920 subst. l'Inter, l'Interurbain (KJELLMAN, Mots abrégés, p. 52). Composé de inter- et de urbain. Bbg. QUEM. DDL t. 4, 12.

1. inter [ɛ̃tɛʀ] n. m.
ÉTYM. XXe (1920); abrév. de interurbain.
Interurbain. || Appeler l'inter.
HOM. 2. Inter, 3. inter.
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2. inter [ɛ̃tɛʀ] n. m.
ÉTYM. 1905, in Petiot; abrév. de intérieur.
Sports (football). Chacun des deux avants placés entre l'avant-centre et les ailiers, en retrait de la ligne des avants. || « L'inter gauche (fut) trop personnel » (Montherlant).
HOM. 1. Inter, 3. inter.
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3. inter [ɛ̃tɛʀ] n. m.
ÉTYM. D. i. (mil XXe ?); apocope de inter(médiaire), n. m., « foc de taille intermédiaire ».
Mar. (plaisance). Foc d'une taille intermédiaire entre le plus petit des génois et le plus grand des focs au sens strict. || La garde-robe de ce sloop comprend, outre la grand-voile, un génois, un inter, un foc numéro un, un foc numéro deux et un tourmentin.
HOM. 1. Inter, 2. inter.

Encyclopédie Universelle. 2012.