jerk [ (d)ʒɛrk ] n. m.
• 1965; mot angl. « secousse »
♦ Anglic. Danse moderne qui consiste à imprimer des secousses rythmées à tout le corps (tête et bras compris), comme si l'on entrait en transes. — V. intr. <conjug. : 1> JERKER [ (d)ʒɛrke ].
● jerk nom masculin (anglais jerk, secousse) Danse qui consiste à imprimer à tout le corps un rythme saccadé, à la mode à partir de 1965.
⇒JERK, subst. fém.
Danse moderne consistant à imprimer à tout le corps des mouvements très rythmés, saccadés. Sautillant et lançant de temps en temps son bras gauche vers l'arrière comme s'il dansait le jerk (L'Express, 22 janv. 1968 ds GILB. 1971).
Prononc. et Orth. : [
]. Au plur. des jerks. Étymol. et Hist. 1965 (L'Express, 20 déc. ds GILB.). Empr. à l'angl. d'orig. prob. onomatopéique jerk « coup, mouvement brusque, secousse, saccade » d'où « trémoussement, convulsion » (notamment dans certains états d'excitation religieuse, de là le dér. jerker désignant les membres de certaines sectes, attesté en fr. dans les dict. gén. du XIXe s. et ds Lar. 20e) employé pour désigner un type de danse moderne (cf. NED Suppl.2).
]. Au plur. des jerks. Étymol. et Hist. 1965 (L'Express, 20 déc. ds GILB.). Empr. à l'angl. d'orig. prob. onomatopéique jerk « coup, mouvement brusque, secousse, saccade » d'où « trémoussement, convulsion » (notamment dans certains états d'excitation religieuse, de là le dér. jerker désignant les membres de certaines sectes, attesté en fr. dans les dict. gén. du XIXe s. et ds Lar. 20e) employé pour désigner un type de danse moderne (cf. NED Suppl.2).DÉR. Jerker, verbe intrans. Danser le jerk. Nous sommes allés danser, je jerkais beaucoup (Femmes d'aujourd'hui, 13 mai 70 ds GILB. 1971). — [
]; (il) jerke [
]. — 1re attest. 1966 (Candide, 17 oct. ds GILB.); de jerk, dés. -er.
]; (il) jerke []. — 1re attest. 1966 (Candide, 17 oct. ds GILB.); de jerk, dés. -er.BBG. — HUMBLEY t. 2 1974, pp. 561-562.
jerk [dʒɛʀk] n. m.
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♦ Anglic. Danse qui consiste à imprimer des secousses rythmées à tout le corps (tête et bras compris), comme si on entrait en transes.
0 Le tiers de la population française avait moins de vingt ans. On le gavait d'idoles, de copains, de yé-yé, de twist, de folksong, de rock-n'-roll, de rythm and blue, de jerk, de trémulations du bassin, de désarticulations de la fosse iliaque, de démembrements de la ceinture pelvienne, de dislocations de la soudure de l'ilion, de l'ischion et du pubis.
P. Guth, Lettre ouverte aux idoles, p. 56 (1968).
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DÉR. Jerker.
Encyclopédie Universelle. 2012.