joaillerie [ ʒɔajri ] n. f.
• juelerye 1434; de joaillier
1 ♦ Art de monter les pierres précieuses ou fines pour en faire des joyaux. Le polissage, le sertissage, opérations de joaillerie.
2 ♦ Métier, commerce du joaillier. Travailler dans la joaillerie (⇒ bijouterie) . Joaillerie-orfèvrerie. — Marchandise du joaillier. « un petit diadème de joaillerie légère » (Colette).
3 ♦ Atelier, magasin de joaillier. ⇒ bijouterie. Une grande joaillerie.
● joaillerie nom féminin (de joaillier) Art qui consiste à mettre en valeur des pierres précieuses, des pierres fines, des perles ou des minéraux divers en tirant parti de leur éclat, de leur couleur et de leur forme. Atelier, magasin du joaillier. Articles vendus par le joaillier.
joaillerie
n. f.
d1./d Art du joaillier.
d2./d Commerce du joaillier.
d3./d Articles fabriqués ou vendus par le joaillier.
d4./d Boutique du joaillier.
⇒JOAILLERIE, subst. fém.
Art et commerce du joaillier; magasin, atelier du joaillier. Les grandes joailleries de Paris, Londres et New-York. C'était une vieille alliance d'or, un de ces bijoux de grosse joaillerie commune, si usée, que les guillochures en avaient presque disparu (ZOLA, Terre, 1887, p. 344). Des étalages s'illuminaient, fascinaient, éblouissaient d'une profusion de feux et de splendeurs, joailleries royales, fourrures, parfumeries (VAN DER MEERSCH, Invas. 14, 1935, p. 442). Paris passait déjà pour la capitale de la mode. Les textes abondent qui font connaître le détail du costume féminin et les merveilles de la joaillerie qui ajoutaient à son effet (FARAL, Vie temps st Louis, 1942, p. 185).
Prononc. et Orth. : [
] et [-a-]. Vieilli : [
-] et [-a-]. Att. ds Ac. dep. 1694; 1740 ,,quelques-uns écrivent jouaillerie``. V. joaillier. Étymol. et Hist. 1. 1434 juelerye « marchandise du joaillier » (Compte d'ouvrages, 4e somme de mises, A. Tournai ds GDF. Compl.); 2. 1611 joyaulerie « commerce, métier du joaillier » (COTGR.); 1675 joaillerie (WIDERHOLD Fr.-All.). Dér. de joaillier; suff. -ie. Fréq. abs. littér. : 26.
] et [-a-]. Vieilli : [-] et [-a-]. Att. ds Ac. dep. 1694; 1740 ,,quelques-uns écrivent jouaillerie``. V. joaillier. Étymol. et Hist. 1. 1434 juelerye « marchandise du joaillier » (Compte d'ouvrages, 4e somme de mises, A. Tournai ds GDF. Compl.); 2. 1611 joyaulerie « commerce, métier du joaillier » (COTGR.); 1675 joaillerie (WIDERHOLD Fr.-All.). Dér. de joaillier; suff. -ie. Fréq. abs. littér. : 26.
joaillerie [ʒɔajʀi] n. f.
ÉTYM. 1434, juelerye; de joaillier, et -erie.
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1 Art de monter les pierres précieuses ou fines pour en faire des joyaux (→ Guillochure, cit. 1). || La mise à jour, le polissage, le sertissage sont des opérations de joaillerie (⇒ Serte, sertissure).
2 (1611, joyaulerie). Métier, commerce du joaillier. || Travailler dans la joaillerie (⇒ Bijouterie). || Joaillerie-orfèvrerie.
3 (1690, Furetière). Marchandise du joaillier. || Fabricant de joaillerie. || Expert en joaillerie.
0 Quelquefois elle se couronnait d'un petit diadème de joaillerie légère, qui lui était ensemble seyant et superflu.
Colette, Belles saisons, Disc. de réception.
4 Atelier, magasin de joaillier. ⇒ Bijouterie. || Une grande joaillerie parisienne. || Cette joaillerie a été cambriolée.
➪ tableau Principaux noms désignant des magasins.
Encyclopédie Universelle. 2012.