novillo [ nɔvijo ] n. m.
• 1842, répandu 1954; mot esp., de novo « nouveau, jeune »
♦ Taurom. Jeune taureau de combat, toréé par un novillero dans une novillada. « un novillo, fut abandonné aux amateurs, qui envahirent l'arène » (Gautier).
⇒NOVILLO, subst. masc.
TAUROM. Jeune taureau de combat âgé de moins de quatre ans. Quant aux alcades, il n'est rien de si aimable: sans cesse à préparer quelques courses de novillos (TOULET, Mar. Don Quichotte, 1902, p.225).
Prononc. et Orth.:[]. Plur. des novillos. Étymol. et Hist. 1721 «jeune boeuf d'un an (au Pérou)» (Trév.); 1902 taurom. (TOULET, loc. cit.). Mot esp. att. dep. 1330-43 (J. RUIZ; d'abord noviello, 1220-50, BERCEO; v. COR.-PASC.), du lat. novellus (nouveau).
novillo [nɔvijo] n. m.
ÉTYM. 1954; mot esp., de novo « nouveau, jeune ».
❖
♦ Taurom. Jeune taureau de combat, toréé par un novillero dans une novillada.
0 Un Français dans l'arène,
Toréait un novillo (taureau de quatre ans).
Montherlant, les Bestiaires, Préface de l'éd. de 1954.
❖
DÉR. Novillada, novillero.
Encyclopédie Universelle. 2012.