invar [ ɛ̃var ] n. m.
• 1904; marque déposée , abrév. de invariable
♦ Techn. Acier au nickel, de dilatation très faible.
● Invar nom masculin (nom déposé [abréviation de invariable]) Alliage de fer à 36 % de nickel, dont le coefficient de dilatation est pratiquement nul. (Il est utilisé en horlogerie et dans tous les appareils dont les pièces doivent être soumises à des températures différentes.)
⇒INVAR, subst. masc.
,,Alliage caractérisé par une dilatation thermique très faible`` (SARM. Phys. 1978). L'alliage [fer-nickel] possédant la plus faible dilatabilité (...) a reçu le nom d'invar (ANDRADE, Horlog., 1924, p. 409). La pendule astronomique moderne constitue vraiment une merveille, une œuvre d'art technique, et elle symbolise le sommet de la mécanique fine (...). Le balancier comporte une tige d'invar, pratiquement insensible aux dilatations thermiques (DECAUX, Mesure temps, 1959, p. 82).
Prononc. : [
]. Étymol. et Hist. 1904 (B. officiel de la Propriété Industr. et comm., t. 24, p. 291, n° 84012). Abrév. de invariable; nom d'un acier au nickel dont le coefficient de dilatation est négligeable, déposé le 16 mars 1904, au greffe du tribunal de Commerce de la Seine, par la Société anonyme de Commentry, Fourchambault et Decazeville.
]. Étymol. et Hist. 1904 (B. officiel de la Propriété Industr. et comm., t. 24, p. 291, n° 84012). Abrév. de invariable; nom d'un acier au nickel dont le coefficient de dilatation est négligeable, déposé le 16 mars 1904, au greffe du tribunal de Commerce de la Seine, par la Société anonyme de Commentry, Fourchambault et Decazeville.
invar [ɛ̃vaʀ] n. m.
ÉTYM. 1904, in Rev. gén. des sc., no 3, p. 161; marque déposée, abrév. de invariable.
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♦ Techn. Acier au nickel, de dilatation très faible, utilisé en horlogerie (balanciers), dans la construction des étalons de mesure, etc.
Encyclopédie Universelle. 2012.