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• av. 1765; de sous- et dominante

n. f. MUS Quatrième degré de la gamme diatonique. Des sous-dominantes.

⇒SOUS-DOMINANTE, subst. fém.

A. — MUS. Dans un mode heptatonique, quatrième degré de la gamme diatonique, et quatrième note d'un ton, intermédiaire entre la médiante et la dominante, formant la quarte juste avec la tonique. Accord (parfait) de sous-dominante. [Les cadences] ayant un caractère de conclusion sont: 1 ^o (...) 2 ^o la cadence plagale ou d'église, lorsque la basse va de la sous-dominante à la tonique (RATEZ, Harm., 1908, p. 8). Le Kyrie reparaît. Les majestueux accords se font réentendre; mais ils ont monté d'un étage au-dessus, à la sous-dominante (ROLLAND, Beethoven, t. 2, 1937, p. 344).

B. — ENSEIGN. SUP. Discipline annexe à la discipline principale (la « dominante », choisie par les étudiants), faisant partie du programme d'études universitaires annuel. Les enseignants du département art font savoir que tous les étudiants inscrits en dominante et sous-dominante doivent préciser au plus vite leur discipline centrale afin de participer aux groupes de recherche (Le Monde, 28 févr. 1969, p. 24, col. 4).

Prononc. et Orth.:[]. Att. ds Ac. dep. 1835. Étymol. et Hist. 1726 (J. Ph. RAMEAU, Nouveau Systeme ds Mus. 1976 sans précision); 1737 mus. soudominante (ID., Génér. harm., 65); 1752 sous-dominante (D'ALEMBERT, Elemens de mus., 26). Dér. de dominante terme de mus.; préf. sous-.

sous-dominante [sudɔminɑ̃t] n. f.

ÉTYM. Av. 1765, Encyclopédie, créé par Rameau (1683-1764); de sous-, et dominante.

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1 Mus. Quatrième degré de la gamme diatonique (en ut, le fa).

2 (V. 1970). Discipline annexe à la discipline principale (« dominante ») s'intégrant obligatoirement dans le cursus de l'étudiant, à l'université. || Douze U. V. (unités de valeur) annuelles, dont quatre en sous-dominantes.

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