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buvable

buvable [ byvabl ] adj.
• 1611; bevable XIIIe; du rad. buv- de boire
1Qui peut se boire, n'est pas désagréable au goût. Eau buvable. potable. Ce vin est à peine buvable. Pharm. Ampoule, soluté buvable, à prendre par la bouche (opposé à injectable).
2Fam. (dans une tournure négative) Ce type n'est pas buvable, il est insupportable.
⊗ CONTR. Imbuvable.

buvable adjectif Qui peut se boire sans danger ou qui est passable comme boisson : Ce vin n'est pas buvable. Qui doit être ingéré par la bouche : Ampoule buvable. Familier. Qui est acceptable, passable : Un film buvable.buvable (synonymes) adjectif Qui peut se boire sans danger ou qui est passable...
Synonymes :
- potable
Contraires :
- imbuvable
Familier. Qui est acceptable, passable
Synonymes :
- possible (familier)
- potable (familier)
- tolérable
Contraires :
- impossible (familier)
- intolérable

buvable
adj. Qui peut être bu, qui n'a pas un goût déplaisant.

⇒BUVABLE, adj.
A.— [En parlant d'une boisson] Qui peut être bu sans offenser le goût. Synon. partic. potable. Il a fait une marmite de bouillon. Il n'était pas buvable. Il était infect (RENARD, Journal, 1903, p. 855).
PHARM. Ampoule buvable (p. oppos. injectable). Dont le contenu doit être absorbé par la bouche.
P. anal. :
En français, une fortune liquide, une situation liquide, c'est quelque chose d'adapté à un usage immédiat. Ce désir en toutes choses de ce qu'elles ont de buvable. c'est-à-dire d'approprié à notre usage immédiat et interne, comment il s'applique à la traction de Dieu sur l'âme, pour le comprendre, il nous faut considérer les différents modes de son appel sur le monde physique : ...
CLAUDEL, Un Poète regarde la Croix, 1938, p. 127.
B.— Au fig., à la forme négative, fam.
1. [En parlant d'une pers.] Il n'est pas buvable. Désagréable, insociable (d'apr. Ch.-L. CARABELLI, [Lang. pop.]).
2. [En parlant d'une chose] ,,Acceptable, supportable.`` (Cohen 63 dans GILB. 1971). ,,Votre article n'est pas buvable`` (Cohen 63 dans GILB. 1971). Synon. fam. potable.
Prononc. :[]. Étymol. et Hist. A. Subst. 1275 beuvable « buveur » (J. DE MEUNG, Ep. d'Abeil. et d'Hel., Richel. 920, f° 122 v° dans GDF.), attest. isolée. B. Adj. début XIVe s. bevable « qui peut être bu » (Ovide Moralisé, éd. C. de Boer, IX, 2588); 1611 buvable (COTGR.). Dér. du rad. beuv-, bev-, buv- de boire1; suff. -able. Fréq. abs. littér. :8.

buvable [byvabl] adj.
ÉTYM. 1611; bevable, déb. XIVe; n. m., « buveur », 1272; du rad. buv- de boire.
1 Qui peut se boire, n'est pas désagréable au goût. || Ce vin est à peine buvable.Pharm. || Ampoules buvables, à prendre par la bouche.
0 Il a fait une marmite de bouillon. Il n'était pas buvable. Il était infect.
J. Renard, Journal, p. 855, in T. L. F.
2 Fam. (dans une tournure négative). Supportable, tolérable. || Ce type n'est pas buvable. Imbuvable.
CONTR. Imbuvable.

Encyclopédie Universelle. 2012.