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tombeau

tombeau [ tɔ̃bo ] n. m.
XIIIe; tombel 1160; de tombe
1Monument funéraire servant de sépulture pour un ou plusieurs morts. caveau, hypogée, mastaba, mausolée, sarcophage, sépulcre, tombe; et aussi cénotaphe, cippe, koubba, stèle. Tombeau en marbre. « À la tête du tombeau, une effigie d'Osiris [...] semblait veiller sur le sommeil du mort » (Gautier). Ensevelir dans un tombeau, mettre au tombeau. « Le cadavre embaumé [de Cromwell] fut enterré dans le tombeau des rois » (Voltaire). Mise au tombeau : représentation de l'ensevelissement du Christ.
Techn. Tiroir en tombeau, galbé. « un immense meuble de marqueterie hollandaise, aux tiroirs en tombeaux » (Goncourt).
Par métaph. (Symbole de la mort). tombe (3o). « Le bien a pour tombeau l'ingratitude humaine » (Musset). Loc. Descendre au tombeau : mourir. Fidèle jusqu'au tombeau, jusqu'à la mort.
Loc. cour. À TOMBEAU OUVERT : à une vitesse telle que l'on risque un accident mortel. Rouler à tombeau ouvert. « le champion du triporteur, l'homme qui avait descendu à tombeau grand ouvert la rue de la Gare » (Fallet).
2Fig. et littér. Lieu clos, sombre, d'aspect funèbre. Cette maison est un vrai tombeau.
3Le tombeau de... : composition poétique, œuvre musicale en l'honneur de (qqn). « Le Tombeau d'Edgar Poe, de Charles Baudelaire », de Mallarmé. « Le Tombeau de Couperin », de Ravel.

tombeau nom masculin (de tombe) Monument funéraire élevé sur la tombe d'un mort. Littéraire. Symbole de la mort : Descendre au tombeau. Littéraire. Lieu ou circonstance où quelqu'un, quelque chose a péri, disparu : Ces événements furent le tombeau de la dictature. Musique Pièce musicale vocale ou instrumentale écrite à la mémoire de personnages illustres (le Tombeau de Couperin, par M. Ravel). ● tombeau (citations) nom masculin (de tombe) Émile Chartier, dit Alain Mortagne-au-Perche 1868-Le Vésinet 1951 Le corps humain est le tombeau des dieux. Système des beaux-arts Gallimard François René, vicomte de Chateaubriand Saint-Malo 1768-Paris 1848 Les danses s'établissent sur la poussière des morts, et les tombeaux poussent sous les pas de la joie. Vie de Rancé André de Chénier Constantinople 1762-Paris 1794 Le moment d'être sage est voisin du tombeau. Élégies Denis Diderot Langres 1713-Paris 1784 Je vois le marbre des tombeaux tomber en poussière, et je ne veux pas mourir ! Salon de 1767 André Malraux Paris 1901-Créteil 1976 Le tombeau des héros est le cœur des vivants. Oraisons Funèbres, Jeanne d'Arc Gallimard Henry Millon de Montherlant Paris 1895-Paris 1972 Académie française, 1960 Chaque fois qu'on me loue, je respire mon tombeau. La Reine morte, I, 2, Ferrante Gallimard Thucydide Athènes vers 460-après 395 avant J.-C. Des hommes illustres ont pour tombeau la terre entière. Histoire de la guerre du Péloponnèse, II, 43, 3 (traduction J. de Romilly) Commentaire Éloge des Athéniens morts à la guerre. William Shakespeare Stratford on Avon, Warwickshire, 1564-Stratford on Avon, Warwickshire, 1616 Causons de tombeaux, de vers et d'épitaphes. Let's talk of graves, of worms, and epitaphs. Richard II, III, 2, le roi Richardtombeau (difficultés) nom masculin (de tombe) Sens Ne pas employer l'un pour l'autre ces deux mots que sépare une importante nuance de sens. 1. Tombe n.f. = endroit où un mort est enterré ; fosse recouverte ou non d'une dalle de pierre, de marbre, etc. 2. Tombeau n.m. = monument funéraire plus ou moins imposant élevé sur une tombe. « Il faut de grands tombeaux aux petits hommes et de petits tombeaux aux grands »(Chateaubriand). ● tombeau (expressions) nom masculin (de tombe) À tombeau ouvert, à une vitesse si rapide qu'elle risque de causer un accident mortel. Suivre quelqu'un au tombeau, mourir peu de temps après lui. Mise au tombeau, scène de l'ensevelissement du Christ. Commode en tombeau, type de commode massive apparue vers 1720, à trois tiroirs et pieds courts. ● tombeau (synonymes) nom masculin (de tombe) Monument funéraire élevé sur la tombe d'un mort.
Synonymes :
- mausolée
- monument
- sépulcre
- sépulture
Iconographie. Mise au tombeau
Synonymes :
- sépulcre

tombeau
n. m.
d1./d Sépulture monumentale d'un ou de plusieurs morts.
|| Mise au tombeau: sculpture, peinture représentant la mise au tombeau du Christ.
d2./d Fig., litt. Lieu sombre, humide, sinistre. Cette pièce est un tombeau.
d3./d Fig., litt. Fin, mort, destruction. Cette loi serait le tombeau de nos libertés.
|| Loc. fig. Rouler à tombeau ouvert: conduire très vite, en prenant des risques mortels.

⇒TOMBEAU, subst. masc.
A. — Monument funéraire élevé sur une tombe pour commémorer le souvenir d'un ou de plusieurs morts. Synon. caveau, mausolée. Élever un tombeau; mettre au tombeau; la nuit, le froid du tombeau. Le père de Condren honorait tellement la mémoire de cette fille qu'il a eu toute sa vie le désir de lui faire faire un tombeau, et de lui composer une épitaphe qui contînt ses dernières paroles (BREMOND, Hist. sent. relig., t. 3, 1921, p. 387). Entre temps, je ne manque pas d'aller saluer le tombeau du soldat inconnu dans l'émouvant parc d'Arlington (DE GAULLE, Mém. guerre, 1956, p. 237).
PEINT. Mise au tombeau. Représentation de l'ensevelissement du Christ. Qu'entendons-nous le mieux dans la Mise au tombeau de Titien: le chant de la nature, celui de la beauté ou celui de l'âme? Qu'il est difficile de les désolidariser (HUYGHE, Dialog. avec visible, 1955, p. 98).
MUS., POÉS. Le Tombeau de... Composition poétique, œuvre instrumentale écrite à la mémoire d'un grand artiste. Le Tombeau de Charles Baudelaire (par Mallarmé), le Tombeau de Couperin (par M. Ravel). Je connais E. Signoret depuis son enfance, car je n'ai jamais cessé de m'intéresser à la famille que l'auteur du Tombeau de Mallarmé a laissé, à sa mort, dans une profonde misère (GIDE, Corresp. [avec Valéry], 1934, p. 516).
ÉBÉN. À, en tombeau. Lit à, en tombeau. Lit à colonnes et à baldaquin de forme lourde et carrée. Tiroir en tombeau. Tiroir à formes galbées. Commode à tombeau. Commode qui rappelle, par sa forme galbée, un sarcophage. Un lit de serge verte, dit en tombeau (...) un rouet, des chaises grossières (...) complétaient, à peu de chose près, le mobilier de Galope-Chopine (BALZAC, Chouans, 1829, p. 243).
B. — P. anal.
1. a) [À propos d'une chose]
— Lieu lugubre, froid, d'aspect funèbre. Bourges a la poésie du cloître: Poitiers est un tombeau (SANDEAU, Mlle de La Seiglière, 1848, p. 2). — Brr! soupira Laurence en secouant ses épaules, c'est un tombeau que cette chambre!... Nos cousins ne font donc jamais de feu? (THEURIET, Mais. deux barbeaux, 1879, p. 27).
— Lieu, temps qui rappelle la mort, la disparition d'hommes, d'institutions, etc. Il appartenait au lion de Saint-Marc, disent les officiers vénitiens, de vérifier le proverbe que l'Italie est le tombeau des Français (LAS CASES, Mémor. Ste-Hélène, t. 1, 1823, p. 703). Musée(-)tombeau. Dans cette demeure de type béarnais [la maison de F. Jammes] remarquablement conservée, où flottent encore les ombres de Claudel, de Mauriac, de Darius Milhaud et d'André Gide, les visiteurs les plus rétifs aux musées-tombeaux seront, cette fois, accueillis par des documents vivants, frais (Le Point, 31 juill. 1978, p. 12, col. 3).
— Raison, cause de la fin de quelque chose. Celui qui croit aux atomes, il ne pense plus l'atome. Les systèmes sont les tombeaux de l'esprit. La chance de Platon, chance qui est unique, est qu'il n'a rien plâtré ni replâtré (ALAIN, Propos, 1931, p. 990).
b) [À propos d'une pers.] Personne dont le silence est comparable à celui d'un mort. Le secret est une tombe et ce n'est pas pour rien que l'homme discret se vante d'être le tombeau des secrets (BACHELARD, Poét. espace, 1957, p. 91).
2. Expr. littér. [Le tombeau symbolisant la mort]
Descendre au tombeau. Mourir. Suivre qqn au tombeau. ,,Mourir peu de temps après lui`` (LITTRÉ).
Mener, conduire, mettre qqn au (dans le) tombeau. Être la cause de sa mort. Cette maladie le mènera au tombeau; le chagrin l'a conduit au tombeau (Ac.).
Être au bord, aux portes du tombeau. Être tout près de mourir. Conduire qqn aux portes du tombeau. Dans le dernier combat que Vitikind livra aux Français, Diaulas, blessé dangereusement, resta sur le champ de bataille: on le crut mort, et la douleur me conduisit moi-même aux portes du tombeau (GENLIS, Chev. Cygne, t. 2, 1795, p. 134).
Tirer qqn (ou qqc.) du tombeau. (Le) rendre à la vie; (le ou la) tirer de l'oubli, faire renaître. Sa résignation à la volonté de Dieu éclate dans tous les momens de sa vie: il aimoit, il connoissoit l'amitié: l'homme qu'il tira du tombeau, Lazare, étoit son ami; ce fut pour le plus grand sentiment de la vie, qu'il fit son plus grand miracle (CHATEAUBR., Génie, t. 2, 1803, p. 361). Affecter de craindre que j'étouffe la République, quand je la tirais du tombeau, était simplement dérisoire (DE GAULLE, Mém. guerre, 1959, p. 264).
3. Loc. adv., cour. À tombeau ouvert. À une vitesse telle que l'on risque la mort. Rouler à tombeau ouvert. Le général, qui n'aimait pas les jeunes gens, dit qu'il avait rencontré Le Ménil, la veille, au bois, galopant à tombeau ouvert (A. FRANCE, Lys rouge, 1894, p. 10).
Prononc. et Orth.:[]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. A. 1. Ca 1155 tumblel « monument funéraire » (WACE, Brut, éd. I. Arnold, 11372); ca 1160 tombel (Eneas, éd. J. J. Salverda de Grave, 6491); 2. a) 1551 litt. « pièce (ou recueil de pièces) écrite(s) en l'honneur d'un mort » (Le Tombeau de Marguerite de Valois royne de Navarre, Paris, 1551 ds F. LACHEVRE, Bbg. des rec. coll. de poés. du XVIe s., p. 232); b) 1re moit. XVIIe s. mus. « pièce vocale ou instrumentale dédiée à la mémoire d'un mort » (E. GAULTIER DE LYON, Tombeau de Mézangeau ds Mus. 1976); 3. a) déb. XVIIIe s. ameubl. cabinet en forme de tombeau (Inventaire des meubles de la Couronne ds HAVARD t. 4); b) 1719 lit à tombeau (Invent. du chevalier de Piré, ibid.); 1720 lit en tombeau (Invent. de Marguerite de Saint-Martin, ibid.); c) mil. XVIIIe s. commode en tombeau (ds HAVARD t. 4). B. 1. expr. a) 1550 mettre au tombeau fig. (DU BELLAY, Œuvres poét., éd. H. Chamard, t. 4, p. 38: les plumes de corbeau Ont mis l'honneur des Dames au tombeau); 1553 au sens propre (RONSARD, Œuvres compl., éd. P. Laumonier, t. 5, p. 23: Catin [...] a mis Au tombeau ses plus grans amis); b) ) 1550 arracher du tombeau fig. « tirer de l'oubli » (ID., ibid., t. 1, p. 234: D'arracher vifs les hommes du tumbeau); 1568 tirer du tombeau (DU BELLAY, op. cit., t. 5, p. 375: vers [...] Tirant hors du tumbeau De nous tout le plus beau); ) 1684 tirer du tombeau « sauver la vie de » (Mme DE SÉVIGNÉ, Corresp., 5 nov., éd. R. Duchêne, t. 3, p. 152); c) 1573 jusqu'au (pied du) tombeau « jusqu'à la mort » (GARNIER, Hippolyte, éd. W. Foerster, 643: jusqu'au pied du tombeau); 1604 (MONTCHRESTIEN, Hector, éd. L. Petit de Julleville, p. 45: jusques au tombeau); d) 1604 descendre au tombeau (ID., Lacènes, p. 189: Descendons avec eux sous la nuict du tombeau); 1636 (CORNEILLE, Le Cid, 714: descendaient au tombeau); e) 1612 suivre au tombeau (URFÉ, Astrée, éd. H. Vaganay, t. 1, p. 267: l'une [amour] suive le corps de Cleon au tombeau); 1625 (CAMUS, Palombe, p. 116: le suivre dans le tombeau); f) 1619 à la porte (aux portes) du tombeau (URFÉ, op. cit., t. 3, p. 586: à la porte du tombeau); 1756 (VOLTAIRE, Essay sur l'hist. gén., p. 333: aux portes du tombeau); g) 1798 à tombeau ouvert « à toute vitesse » (Ac.); h) 1834 se creuser un tombeau (SAINTE-BEUVE, Volupté, t. 2, p. 188: le tombeau [la solitude] que je m'étois creusé moi-même); av. 1848 (CHATEAUBR., Mém., t. 2, p. 643: ceux qui font des révolutions à moitié ne font que se creuser un tombeau); 2. a) 1558 fig. « lieu, temps où quelqu'un ou quelque chose a péri » (DU BELLAY, op. cit., t. 2, p. 27: Et morte elle [Rome] est du monde le tumbeau); b) 1640 fig. « ce qui cause la mort, la destruction » (CORNEILLE, Horace, 1506: elle voit avec lui son espoir au tombeau); 3. 1832 fig. « endroit lugubre, sinistre » (HUGO, N.-D. Paris, p. 239); 4. 1894 fig. tombeau des secrets « personne très discrète » (L. DAUDET, Morticoles, p. 280); 1927 (MAURIAC, Th. Desqueyroux, p. 207: cette fille, c'est un tombeau). Dér. de tombe; suff. -eau. Fréq. abs. littér.:4 209. Fréq. rel. littér.:XIXe s.: a) 11 446, b) 6 652; XXe s.: a) 4 120, b) 2 088.

tombeau [tɔ̃bo] n. m.
ÉTYM. XIIIe; tombel, v. 1130; de tombe.
1 a Monument (cit. 5) funéraire servant de sépulture pour un ou plusieurs morts. Caveau, cippe, hypogée, koubba, mastaba (cit. 1), mausolée (cit. 1), pierre (tombale), sarcophage, sépulcre, stèle, tombe; cénotaphe, columbarium (→ Cyclopéen, cit. 1; effigie, cit. 1; entablement, cit. 1; funèbre, cit. 12; grille, cit. 9; résurrection, cit. 1). || Enterrer, ensevelir dans un tombeau, mettre au tombeau. Funérailles (→ Cadavre, cit. 3; laver, cit. 10). || Le froid, la nuit (cit. 26) des tombeaux (→ Cadavérique, cit. 1; inconstance, cit. 3; paillon, cit. 2). || Le tombeau de Lénine.Mise au tombeau : représentation de l'ensevelissement du Christ.
1 Le cloître est rempli de tombeaux, la plupart fermés de grilles très serrées et très fortes : ces tombeaux, tous d'illustres personnages, sont pratiqués dans l'épaisseur du mur, historiés de blasons et brodés de sculptures.
Th. Gautier, Voyage en Espagne, p. 25.
b (1752). Techn. || Lit en tombeau, lit tombeau : lit à colonnes, très drapé, carré et lourd (→ Mobilier, cit. 2).Tiroir en tombeau, galbé. || Brosse en tombeau, dont le poil est disposé en arc.
2 (…) un immense meuble de marqueterie hollandaise, aux tiroirs en tombeaux, portant sur la corniche des vases argentés (…)
Ed. et J. de Goncourt, Journal, 14 nov. 1874, t. V, p. 120.
c Loc. C'est le tombeau des secrets.C'est un tombeau, se dit de qqn d'extrêmement discret, qui ensevelit en lui tous les secrets. → Muet comme une tombe.
2 (Déb. XIXe). Fig., littér. Lieu clos, sombre, d'aspect funèbre. || Cette espèce de tombeau où vivait le reclus (cit. 4). || Cette pièce est un vrai tombeau.(En parlant d'un couvent). || Elle s'était (1. Être, cit. 109) laissé murer dans ce tombeau.
3 (1640). Par métaphore, fig. (Symbole de la mort). Tombe (3.).Descendre (cit. 11) au tombeau : mourir. || « Au tombeau comme au trône on me verra courir » (cit. 11). || « La moitié (cit. 7) de ma vie a mis l'autre au tombeau ». || « Les tortueux (cit. 3) chemins qui vont vers le tombeau » (Verhaeren). || Jusqu'au tombeau (→ Rajeunir, cit. 1). || Au bord (cit. 23), aux portes du tombeau; approcher (cit. 9) du tombeau. || Creuser (cit. 15) son tombeau.Fig. || Le tombeau de… : le lieu où meurt…; la fin, la mort de…
3 Le bien a pour tombeau l'ingratitude humaine.
A. de Musset, Premières poésies, « La coupe et les lèvres », IV, 1.
4 Demain, c'est Waterloo ! demain, c'est Sainte-Hélène !
Demain, c'est le tombeau !
Hugo, les Chants du crépuscule, V, II.
Fig., littér. Ce qui cause la mort, la disparition de (qqch.). || « Les systèmes sont le tombeau de l'esprit » (Alain, in G. L. L. F.).
4 (1798). Loc. fig. À tombeau ouvert : proprt, avec une telle vitesse qu'on risque un accident mortel. || Rouler à tombeau ouvert.
5 (…) la vitesse vertigineuse des escortes lancées à fond de train et des carrosses courant à tombeau ouvert (…)
Taine, les Origines de la France contemporaine, I, t. I, p. 138.
6 (…) il avait rencontré Le Ménil, la veille, au Bois, galopant à tombeau ouvert.
France, le Lys rouge, I.
7 (…) le champion du triporteur, l'homme qui avait descendu à tombeau grand ouvert la rue de la Gare (…)
René Fallet, le Triporteur, p. 47.
5 (V. 1700, Couperin). Le tombeau de… Composition poétique, œuvre musicale en l'honneur d'un artiste, d'un grand homme disparu. || Le Tombeau d'Edgar Poe, le Tombeau de Charles Baudelaire, de Mallarmé. || Le Tombeau de Couperin, de Ravel. || Le Tombeau de Monsieur de Sainte-Colombe, de Marin Marais.

Encyclopédie Universelle. 2012.