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verge

verge [ vɛrʒ ] n. f.
• v. 1100; lat. virga vergue
I
1Vx Baguette (de bois ou de métal). Baguette servant à frapper, à corriger. Loc. Donner des verges pour se faire battre, fouetter : fournir des armes contre soi-même. — Insigne d'une autorité. Verge du bedeau, de l'huissier.
2Techn. Tige ou tringle métallique (de certains instruments). La verge de l'ancre, sa tige centrale.
Ancienne mesure agraire (quart d'un arpent). Mod. (au Canada, apr. 1760) Unité de longueur valant trois pieds ou trente-six pouces (0,914 m). yard. Acheter du tissu à la verge.
II(XIIIe) Organe de la copulation (chez l'homme et les mammifères). membre (viril), pénis. Corps caverneux, filet, gland de la verge.

verge nom féminin (latin virga) Autrefois, instrument de punition corporelle formé d'une baguette flexible ou d'une poignée de brindilles. Tringle de métal. Synonyme de pénis. Au Canada, unité de mesure valant trois pieds. Ancienne unité de mesure agraire, équivalant à un quart d'arpent, ou 0,1276 ha. Barreau susceptible de vibrer pour produire un son. Tige d'une ancre, qui relie les pattes à l'organeau. ● verge (expressions) nom féminin (latin virga) Littéraire. Donner des verges pour se faire fouetter, fournir à d'autres des armes contre soi-même. Verge d'or, nom usuel d'une espèce de solidago.

verge
n. f.
rI./r
d1./d Vx Baguette.
|| Loc. fig. Vous lui donnez des verges pour vous fouetter: vous lui apportez des armes (des arguments, par ex.) qu'il utilisera contre vous.
d2./d TECH Tige métallique.
|| MAR La verge d'une ancre, sa tige centrale.
d3./d Unité de mesure de longueur canadienne valant trois pieds ou trente-six pouces, soit 0,9144 m. Tissu à 10 dollars la verge.
rII./r Organe de la miction et de la copulation, chez l'homme et les mammifères mâles. Syn. pénis.

⇒VERGE, subst. fém.
A. — 1. Baguette de bois longue, fine et flexible; tige de métal longue et fine. Verge d'un arc, d'un fouet; verge d'ébène, de noisetier, d'osier; verge de cuivre, de fer. L'homme caché sous le tas, des tresses de raphia, des verges de jonc, des guirlandes de brosses de toutes formes (...) avançait à petits pas (CENDRARS, Bourlinguer, 1948, p. 147).
2. Baguette servant à frapper, à corriger, à infliger une punition corporelle; au plur., poignée de baguettes flexibles servant à cet usage. Battre, fouetter qqn de/avec des verges; donner les verges à qqn. Dans les livres d'images qui ont amusé mes premières années, on voyait passer le père Fouettard, avec son paquet de verges sous le bras; mais ce n'était à mes yeux qu'une métaphore (...). Jamais je ne déliai en pensée ce paquet de verges; jamais je n'en tirai quelque baguette d'osier assouplie par l'eau, propre à couper du premier coup la peau délicate d'un enfant (ALAIN, Propos, 1921, p. 312).
Loc., gén. au plur.
HIST. Faire passer un soldat par les verges. Faire passer un soldat entre deux rangs de soldats armés de baguettes pour lui infliger un châtiment corporel. (Dict. XIXe et XXe s.). P. métaph. Aujourd'hui, la critique, après avoir immolé le livre d'un homme, lui tend la main. La victime doit embrasser le sacrificateur sous peine d'être passé par les verges de la plaisanterie (BALZAC, Illus. perdues, 1839, p. 499).
Au fig.
Vx. Faire baiser les verges à qqn. Contraindre quelqu'un à reconnaître le caractère justifié d'une punition. (Dict. XIXe et XXe s.).
Donner, payer des verges pour se faire fouetter, pour se faire battre. Fournir à l'adversaire des arguments, des armes contre soi-même. Le gouvernement donne des verges pour se faire battre, en laissant le monde philosophique juge et partie sur ses propres intérêts (FOURIER, Nouv. monde industr., 1830, p. 43).
3. [Symb. d'une autorité, d'une fonction]
a) HIST. Baguette, ornée d'ivoire ou d'argent à chaque extrémité, portée autrefois par les huissiers, les sergents. Huissier, sergent à verge. Le président se baissa vers un homme placé à ses pieds, qui avait un bonnet d'or et une robe noire, une chaîne au cou et une verge à la main.Huissier, introduisez la seconde accusée (HUGO, N.-D. Paris, 1832, p. 355).
b) Au fig. Autorité sévère qui fait durement ressentir son pouvoir. Ramassant tous ces sarcasmes [de Voltaire], il [Nonotte] en composa le joli recueil des Honnêtetés littéraires. Voltaire craignait fort les verges, on le voit à ses trépignements, et il ne laissa pas d'être souvent fouetté (VEUILLOT, Odeurs de Paris, 1866, p. 53).
Être sous la verge de qqn. Être sous le pouvoir, l'autorité de quelqu'un, d'une institution. Quand vous permettez l'exil, l'emprisonnement, ou toute vexation qu'aucune loi n'autorise, qu'aucun jugement n'a précédée, ce n'est pas sous le pouvoir du monarque que vous placez les citoyens, ce n'est pas même sous le pouvoir des ministres: c'est sous la verge de l'autorité la plus subalterne (CONSTANT, Princ. pol., 1815, p. 151).
c) [P. allus. biblique au bâton de commandement remis à Moïse par Dieu et doté de pouvoirs miraculeux] Je m'étais figuré qu'il en serait de la vieille royauté ainsi que de la verge desséchée d'Aaron: enlevée (...) du temple de Jérusalem (...), elle reverdit et porta les fleurs de l'amandier, symbole du renouvellement de l'alliance (CHATEAUBR., Mém., t. 4, 1848, p. 474). [Goethe] rêve de rapporter [d'Italie] en Allemagne la verge de Moïse qui fasse pisser du rocher la source. Mozart l'a bien pu! (ROLLAND, Goethe et Beethoven, 1930, p. 203).
B. — P. anal.
1. Partie allongée et fine d'un objet; tringle de métal ou barre de bois formant une partie d'un outil, d'un ensemble. Verge de fléau, de girouette. La branche la plus courte du levier est alourdie d'un contre-poids en terre durcie, et la branche la plus longue porte une verge de bois rattachée par un lien flexible, de sorte que pendant les mouvements d'inflexion du levier, cette verge reste toujours verticale (DU CAMP, Nil, 1854, p. 89). La lame de scie [de la faucheuse] comprend la verge ou tringle, barre d'acier étiré à section rectangulaire sur laquelle sont rivées les sections (PASSELÈGUE, Mach. agric., 1930, p. 171).
2. Spécialement
a) BOT. Verge de Jacob. Asphodèle jaune. Verge d'or. Plante ornementale, de la famille des Composées, à fleurs jaunes disposées en panicule serrée. La verge d'or est répandue dans les bois montagneux (PLANCHON, COLLIN, Drogues d'orig. végét., t. 2, 1895-96, p. 38).
b) HORLOG. Longue tige sur laquelle pivote le balancier d'une horloge; le balancier lui-même. Foliot à verge. Comment voyons-nous qu'un jour, une heure, une minute, une seconde, sont écoulés? C'est parce que le soleil, une aiguille de montre, la verge d'un pendule, ont parcouru un certain espace (DESTUTT DE TR., Idéol. 1, 1801, p. 189).
c) MAR. Partie droite d'une ancre à jas qui s'étend de l'organeau au point de jonction des pattes. Si l'axe de l'ancre [d'un navire] ou verge doit être disposé verticalement, il suffit de tourner le bossoir de capon pour amener l'ancre contre la muraille au poste qu'elle doit occuper (CRONEAU, Constr. nav. guerre, t. 2, 1892, p. 203).
d) MENUIS. Compas à verge. Compas formé d'une longue tige sur laquelle glissent des blocs munis de pointes à tracer. Le compas à verge est (...) pour préparer les vides et découper les incrustations, l'instrument préférable en un grand nombre de cas (NOSBAN, Manuel menuisier, t. 2, 1857, p. 150).
e) MÉTROL. ANC. Unité de mesure agraire valant le quart d'un arpent. V. infra dér. vergée ex. Mod., région. (Canada). Unité de longueur valant trois pieds, ou trente-six pouces. Acheter deux verges de serge. Elle ne se gênait pas de détailler la catalogne [étoffe] à la verge plutôt qu'à l'aune, à l'ancienne façon (GUÈVREMONT, Survenant, 1945, p. 168).
f) PHYS., ACOUST. Baguette vibrante. La plus importante application du principe des verges vibrantes est le diapason, instrument donnant un seul son fixe, unique et à peu près invariable, et dont on se sert pour mettre d'accord entre eux les divers éléments de l'orchestre (LAVIGNAC, Mus. et musiciens, 1895, p. 27).
C. — ANAT. [Chez l'homme et les mammifères] Organe de la copulation et de la miction. Synon. bite (fam.), membre, pénis, phallus, queue1 (pop.), vit. Corps, racine de la verge; nerfs, organes érectiles, téguments de la verge. Songez (...) qu'il y a des femmes qui se trouveraient presque déshonorées si elles touchaient la verge de leur mari ou la regardaient (LÉAUTAUD, Journal littér., 4, 1922, p. 155).
Prononc. et Orth.:[]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. I. A. 1. 1100 « longue baguette droite et flexible » (Roland, éd. J. Bédier, 3323); ca 1170 allus. biblique verge Aaron (Quatre Livre des Rois, éd. E. R. Curtius, p. 129); 2. 1130-40 « baguette avec laquelle on frappe pour châtier » (WACE, Vie de Sainte Marguerite, éd. E. A. Francis, 176); d'où a) 1580 presentons nous mesmes les verges dequoy nous chastier (MONTAIGNE, Essais, I, 56, éd. P. Villey et V.-L. Saulnier, p. 319); 1740 donner des verges pour se fouetter (Ac.); b) 1752 faire passer qqn par les verges (Trév.); 3. 1re moit. XIIe s. fig. « instrument de la colère divine » (Psautier d'Oxford, éd. Fr. Michel, 88, 32); 4e quart XIVe s. verges subst. plus. « peines, afflictions dont Dieu punit les hommes » (FROISSART, Chroniques, éd. S. Luce, t. 4, p. 100); 4. a) 2e moit. XIIIe s. [ms.] vergue « bâton symbolique utilisé dans l'exercice d'une fonction » (Première Continuation de Perceval, TVD, éd. W. Roach, 3316); b) fin XIIIe s. « bâton que portaient les officiers de justice » (Livre Roisin, éd. R. Monier, p. 204); 1385 sergent de la verge (Arch. Nord, B 1575, fol. 9 r° ds IGLF); 1407 sergent à verge (Enquête sur l'assassinat de Louis d'Orléans, p. 237, ibid.); c) 1320 verge royal « sceptre royal » (Asseneth ds Nouvelles Françoises du XIVe s., éd. Moland et d'Héricault, p. 5); d) 1694 « grande baguette du bedeau » (CORNEILLE); 5. 1204 estre sous la verge de « être sous l'autorité de » (RECLUS DE MOLLIENS, Charité, III, 4, éd. A. G. van Hamel, p. 59). B. Sens techn. 1. ca 1240 « partie de l'arc d'une catapulte » (Un art d'aimer anglo-normand, éd. Ö. Södergård, 256 ds Romania t. 77, p. 300); 2. 1281 verge de fer « barre (qui sert à mesurer les toiles) » (Ordonnance ds E. BOILEAU, Livre des Métiers, éd. G.-B. Depping, p. 388); 3. 1340 « baguette de métal maintenant un panneau de vitrail » (Fournitures et réparations faites au Château de Falaise ds HAVARD); 4. 1636 « tronc d'une colonne » (MONET); 5. 1694 terme de tisserand (CORNEILLE); 6. 1694 terme de mar. verge de giroüette (ibid.). C. Ca 1245 « ancienne mesure agraire » (PHILIPPE MOUSKET, Chronique, éd. De Reiffenberg, 9749). D. 1. Bot. 1543 verge a bergier (Traduction de l'Histoire des Plantes de L. Fuchs, 91 B d'apr. FEW t. 14, p. 492a); 1596 verge d'or (HULSIUS); 1611 verge sanguine (COTGR.); 1791 verge de Jacob (VALM.); 2. 1764 zool. verge marine « vérétille » (ibid.). II. Ca 1195-1200 anat., verge pelee (Renart, éd. M. Roques, 14610); XIIIe s. verge (Placides et Timeo, 37 d'apr. R. ARVEILLER ds Mél. Horrent (J.), p. 13). Du lat. virga « branche souple et flexible; drageon, bouture », d'où « baguette » spéc. « baguette du licteur ». Fréq. abs. littér.:468. Fréq. rel. littér.:XIXe s.: a) 1 579, b) 373; XXe s.: a) 318, b) 251.
DÉR. 1. Vergée, subst. fém., métrol. anc. Unité de mesure agraire qui valait quarante perches. [en Normandie] comme sans doute dans les autres provinces, le champ du paysan s'évalue en acres, arpents, journaux, perches, toises, verges et vergées (GOURMONT, Esthét. lang. fr., 1899, p. 53). []. Att. ds Ac. 1835-1878. 1re attest. 1209 une vergee de terre (Echiquier de Normandie, 118, Marnier ds DELB. Notes mss); de verge, suff. -ée. 2. Vergeoise, subst. fém. a) Vx. Forme, garnie de cerceaux de coudrier, dans laquelle on coulait le sucre pour le transformer en pains. (Dict. XIXe et XXe s.). b) Sucre obtenu à partir de sous-produits provenant du raffinage du sucre. Le fabricant de sucre qui dit:Vergeoise, tête, claircé, (...) lumps, (...) bâtarde, (...) cet honnête manufacturier parle argot (HUGO, Misér., t. 2, 1862, p. 190). []. 1res attest. a) 1751 « sucre » (Encyclop. t. 2, s.v. bâtarde), b) 1808 « forme spéciale pour obtenir ce sucre » (BOISTE); de verge, suff. -oise (v. -ais, -ois).
BBG. — LEPELLEY (R.). Les Région. dans le mém. de Pierre Rivière... Linguistique. Paris. 1980, t. 16, p. 88 (s.v. vergée). — MÖHREN (F.). Le Renforcement affectif de la négation par l'expr. d'une valeur minimale en anc. fr. Tübingen, 1980, p. 233.

verge [vɛʀʒ] n. f.
ÉTYM. V. 1080, Chanson de Roland; du lat. virga « baguette ». → Vergue.
———
I
1 Vx. Baguette (→ Fil, cit. 23). || La verge d'un arc. || Verges servant de jalons.Baguette servant à frapper, à corriger (cit. 17.1). || La verge du maître d'école (→ Écolier, cit. 5; nonchalance, cit. 2). || Poignée de verges (→ Marital, cit.). || Battre (cit. 4) qqn de verges, avec des verges. Flageller, fustiger.Anciennt. Faire passer un soldat par les verges, par les baguettes.Fig., vx. Faire baiser les verges à qqn, l'obliger à reconnaître qu'on a raison de le punir (ci-dessous cit. 2).Donner des verges pour se faire fouetter.(V. 1290). || La verge, insigne de l'autorité. || Verge garnie d'ivoire et d'argent que portaient les huissiers. || Huissier à verge. || Verge du bedeau. Porte-verge.
1 Les théurgites, les anciens sages, avaient tous une verge avec laquelle ils opéraient. Mercure passe pour le premier dont la verge ait fait des prodiges (…) La verge de l'antique Bacchus était son thyrse (…) La verge d'Hercule était son bâton, sa massue (…) La verge fut en tout temps l'instrument des sages et le signe de leur supériorité.
Voltaire, Dict. philosophique, Verge.
1.1 (…) me voyant enfin là, bien à sa portée, il ordonne à Armande de lui apporter des verges, elle lui en présente une poignée mince et longue; Clément les saisit, et me recommandant de ne pas bouger, il débute par une vingtaine de coups sur mes épaules et sur le haut de mes reins (…)
Sade, Justine…, t. I, p. 181.
2 — Ha ! pensa maître Mathias, ils vont lui faire baiser les verges avant de lui donner le fouet.
Balzac, le Contrat de mariage, Pl., t. III, p. 128.
3 Qu'y a-t-il de plus poétique que Xerxès, fils de Darius, faisant fouetter de verges la mer qui avait englouti ses vaisseaux ?
Proust, À la recherche du temps perdu, t. XI, p. 57.
4 Dans les livres d'images qui ont amusé mes premières années, on voyait passer le père Fouettard, avec son paquet de verges sous le bras; mais ce n'était à mes yeux qu'une métaphore (…) Jamais je ne déliai en pensée ce paquet de verges; jamais je n'en tirai quelque baguette d'osier assouplie par l'eau, propre à couper du premier coup la peau délicate d'un enfant; encore bien moins aurais-je imaginé les cinquante coups qui pouvaient suivre.
Alain, Propos, 28 oct. 1921, « Fausses perspectives du progrès ».
Fig. (vx). Être sous la verge de qqn, sous son autorité. || Gouverner avec une verge de fer, avec un sceptre de fer.Allus. bibl. || La verge de Moïse, d'Aaron, leur bâton de commandement, auquel Dieu donna un pouvoir miraculeux.Vx. || Verge magique : baguette magique (→ Balai, cit. 2).
2 Techn. a (1340). Baguette de métal maintenant un panneau de vitrail.
b (Déb. XVe). Partie d'une ancre à jas, tige qui réunit l'organeau au point de réunion des pattes. || La verge de l'ancre est traversée par le jas.
c (1694). Tige sur laquelle pivote une girouette.Pivot (d'un balancier).
d (1680). Vx. Baguette de bois passée entre les fils de chaîne par le tisserand, pour former une croisure.
e (1828). Manche de fléau.
f (XXe). Baguette vibrante, utilisée en acoustique.
3 (Mesure). a (V. 1240). Ancienne mesure agraire, valant le quart d'un arpent.
b (Après 1760). Au Canada, Unité de longueur valant trois pieds ou trente-six pouces (0,914 m). Yard. || Acheter du tissu à la verge.
4 Loc. || Verge de Jacob : asphodèle jaune.(1596). || Verge d'or : composacée à fleurs jaune vif.Verge de mer : vérétille.
5 Par métaphore, vx. Autorité sévère, qui châtie.
———
II (1549; verge pelée, XIIIe, Renart). Organe de la copulation (chez l'homme et les mammifères) → Fourreau, cit. 6. Membre (viril), pénis, phallus, priape, vit; fam. biroute, bitte, braquemart, manche, quéquette, queue. || Parties de la verge. Caverneux (corps), filet, gland, prépuce.Les Onze Mille Verges, récit (publié d'abord anonymement) de G. Apollinaire.
DÉR. Vergeoise, vergerette, vergeté, vergeter, vergette, vergeure.
COMP. Enverger. — Porte-verge, sous-verge.

Encyclopédie Universelle. 2012.