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buter

1. buter [ byte ] v. tr. <conjug. : 1>
• 1821; de l'arg. but(t)e « échafaud »
Fam. Tuer, assassiner avec une arme à feu, dans un mauvais coup, un règlement de compte. Il a buté un flic. Se faire buter. ⊗ HOM. Buté, butée, butter. buter 2. buter [ byte ] v. <conjug. : 1>
• 1500; autre sens 1289; de but
1 V. intr. Heurter le pied (contre qqch. de saillant). achopper, broncher, trébucher. Buter contre une pierre, un rebord. Adoum « a buté contre une souche et roulé à terre » (A. Gide). (Sujet chose) Cogner, être arrêté. Un tiroir qui bute contre un taquet. Fig. Se heurter (à une difficulté). Buter contre l'incompréhension de ses interlocuteurs. « des problèmes sur lesquels ont buté tous les autres pays » (Siegfried). Buter sur un mot, à chaque mot : avoir du mal à prononcer, à lire.
S'appuyer, être calé. La poutre bute contre le mur.
2 V. tr. Appuyer, soutenir, étayer. Buter un mur au moyen d'un arc-boutant. épauler.
Fig. Vx Contrecarrer. Mod. Réduire (qqn) à une position de refus entêté. braquer. Ses échecs l'ont buté.
3 V. pron. Fig. S'entêter, être buté. « il se butait là, il s'était obstiné à vouloir terminer tout » (Zola) .

buter verbe transitif indirect (de but) S'appuyer contre quelque chose, en parlant de quelque chose : Poutre qui bute contre un mur. Heurter le pied contre quelque chose, trébucher en parlant de quelqu'un : il a buté contre une pierre et il est tombé. Être arrêté par une difficulté qui empêche le cours normal d'une action, d'un raisonnement, etc. : Buter sur une difficulté. Hésiter en parlant, se tromper : Il bute sur chaque mot.buter (difficultés) verbe transitif indirect (de but) Orthographe et sens Ne pas confondre ces deux verbes. 1. Buter contre, sur qqch (= heurter ou appuyer sur) s'écrit avec un seul t. 2. Butter une plante (= l'entourer d'une butte de terre) s'écrit avec deux t. ● buter (homonymes) verbe transitif indirect (de but) buté adjectif butée nom féminin butter verbebuter (synonymes) verbe transitif indirect (de but) Heurter le pied contre quelque chose, trébucher en parlant de quelqu'un
Synonymes :
- trébucher
Être arrêté par une difficulté qui empêche le cours normal...
Synonymes :
- achopper
buter verbe transitif Étayer quelque chose : Buter un mur avec des poutres. Pousser quelqu'un à une attitude d'obstination, de refus systématique : Son insistance ne faisait que me buter davantage. Populaire. Tuer, assassiner quelqu'un. ● buter verbe intransitif En pelote basque, faire le but, mettre la pelote en jeu. ● buter (difficultés) verbe transitif Orthographe Pour le sens argotique de « tuer », les deux graphies, buter et butter, sont admises. Buter (avec un seul t) est plus fréquent. ● buter (homonymes) verbe transitif buté adjectif butée nom féminin butter verbebuter (synonymes) verbe transitif Pousser quelqu'un à une attitude d'obstination, de refus systématique
Synonymes :
- braquer
buter (homonymes) verbe intransitif

buter
v. intr. (Afr. subsah.) SPORT Marquer un but au football.
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buter
v.
d1./d v. intr. Heurter le pied, trébucher (contre un obstacle). Buter contre une pierre.
Fig. Il bute sur une difficulté mineure.
|| v. Pron. Se heurter. Se buter à un obstacle.
d2./d v. tr. TRAV PUBL étayer, soutenir. Buter un mur.
d3./d v. tr. Provoquer l'opposition têtue de. Buter un enfant. Syn. braquer.
|| v. Pron. S'obstiner, s'entêter.

⇒BUTER, verbe.
I.— [Idée de rencontre d'un point d'arrêt par le suj.]
A.— [Le point d'arrêt est le point terminal d'une visée]
1. JEUX (billard), emploi abs. Frapper au but.
2. Emploi intrans., au fig., vx. Buter (à). Viser (à). C'est à quoi je bute. Il butait à telle charge, à tel emploi (Ac. 1798-1878) :
1. « Ainsi, s'écriait M. Bail, si l'on me demande quel est mon dessein dans cette visite, à quoi je tends, à quoi je bute, je répondrai : sorores quaero, je cherche mes sœurs. »
SAINTE-BEUVE, Port-Royal, t. 4, 1859, p. 38.
Emploi abs. Buter. Aller à son but.
B.— [Le point d'arrêt est un obstacle]
1. Emploi trans. Buter qqc. ou qqn, (suivi éventuellement de la prép. de ou avec). [Le suj. désigne un animé] Buter du pied, de la tête. Elle perdit l'équilibre et vint buter la porte avec son front (R. ROLLAND, Jean-Christophe, L'Adolescent, 1905, p. 255).
Au fig., emploi pronom. réciproque. Ce sont des gens qui se butent, qui se sont butés l'un contre l'autre (Ac. 1835-1932).
2. Emploi intrans., usuel (suivi d'un compl. d'obj. indir., prép. à, contre, dans, devant, sur, précisant la relation à l'obstacle)
a) [Le suj. désigne un inanimé] S'appuyer contre un objet qui arrête ou qui limite un mouvement :
2. Le tenon ne doit pas traverser de part en part la pièce de bois adverse; il doit venir buter contre un épaulement qui rend l'assemblage plus solide et plus propre.
J. VIAUX, Le Meuble en France, 1962, p. 6.
b) [Le suj. désigne un animé] Se heurter à un obstacle. Je ne prends garde qu'à tes pieds pour qu'ils ne butent pas aux pierres (RAMUZ, Aimé Pache, peintre Vaudois, 1911, p. 233).
SYNT. Buter contre une marche, un meuble, un mur, les pavés, une pierre, une porte close, les racines, une souche, un tronc d'arbre; buter du front, du nez, du pied contre un meuble, une porte. Buter dans. Parfois son pied butait dans les ornières (ALAIN-FOURNIER. Le Grand Meaulnes, 1913, p. 67); elle expliqua qu'elle avait buté dans un caillou et s'était flanquée par terre (QUEFFÉLEC, Un Recteur de l'île de Sein, 1944, p. 168). Buter sur. Ses pieds butaient sur la route noire (ZOLA, La Terre, 1887, p. 236).
Au fig. [Le suj. désigne une pers. ou une collectivité; le verbe est suivi d'une prép.] Buter contre. Buter contre son impuissance, son incompétence, son incompréhension. Buter dans. On bute dans des riens. On rêve de trop (CÉLINE, Voyage au bout de la nuit, 1932, p. 300). Buter devant. Ce n'est pas la première fois que je bute devant un diagnostic (R. MARTIN DU GARD, Les Thibault, Le Pénitencier, 1922, p. 756). Buter sur. Buter sur un problème, sur une réticence.
3. Emploi abs. [Le suj. désigne un animé] Synon. trébucher. Buter à chaque pas, buter comme un homme ivre. Le cheval bute et tombe sur la face antérieure de ses boulets (E. GARCIN, Guide vétér., 1944, p. 178).
Au fig. [Avec un compl. circ.; à « avec, à l'occasion de »] Buter à chaque mot.
Rem. On rencontre parfois dans ces accept. et avec un tel compl. la forme pronom. (emploi subjectif). Se buter à, contre, dans qqc. Il devait ou retourner sur ses pas ou se butter contre les murs (HUYSMANS, Les Sœurs Vatard, 1879, p. 283); je me bute dans une allée contre quelque chose que je croyais un paquet de chiffons (E. et J. DE GONCOURT, Journal, 1889, p. 955). Au fig. Se buter à un obstacle, à une impossibilité, à un veto.
II.— [Idée de rencontre d'un point d'arrêt par l'obj.] Emploi factitif. Faire en sorte que quelqu'un ou quelque chose soit dans tel ou tel état.
A.— Emploi trans. [Le point d'arrêt est un point d'appui]
CONSTR. Buter une poutre. La placer, l'appuyer contre quelque chose.
Buter un mur, une voûte. Soutenir un mur, une voûte à l'aide d'un étai, d'une culée, d'un arc-boutant pour l'empêcher de s'écarter. Synon. épauler, étayer. Une suite d'épais contreforts en pierre destinés à buter des voûtes (VIOLLET-LE-DUC, Entretiens sur l'archit., t. 2, 1872, p. 63).
B.— Usuel. [Le point d'arrêt est un blocage psychique]
1. Emploi trans. Buter qqn. Le pousser à une détermination où il se fixe. Synon. braquer, choquer. Léo. — Je veux dire ne pas buter Michel. Être habile... / Yvonne. — Non, non. Il faut couper net (COCTEAU, Les Enfants terribles, 1929, I, 9, p. 220); « laisse-la donc libre. Il ne faut pas la buter », m'a dit Robert (S. DE BEAUVOIR, Les Mandarins, 1954, p. 61).
2. Emploi pronom. réfl. Se buter. Se fixer dans une position sans issue :
3. Ce pauvre Mareste est devenu, (...) l'un des défenseurs les plus acharnés de ce qu'on appelle le genre romantique dans les arts, et l'on sait par expérience ce que c'est de défendre forcément une doctrine dont on n'est pas intimement imbu, et qui contrarie même souvent nos impressions personnelles : on s'obstine, on se bute, ou l'on tourne la chose en plaisanterie.
DELÉCLUZE, Journal, 1824, p. 33.
SYNT. Se buter par entêtement, par orgueil, par vanité.
Se buter à, contre, dans, sur. Être arrêté par une chose sur laquelle on s'acharne avec opiniâtreté. Synon. s'entêter, s'obstiner. Se buter dans le mensonge, dans le silence.
Se buter à + subst. Se buter à, contre une difficulté, un problème :
4. Je passai de la sorte trois ou quatre mois, devenant chaque jour plus amoureux, parce que je me butais chaque jour plus contre une difficulté que j'avais créée moi-même, ...
CONSTANT, Le « Cahier rouge », 1830, p. 21.
Se buter à + inf. (rare). On sait que je ne me butais pas à plier les circonstances à mes idées (LAS CASES, Le Mémorial de Sainte-Hélène, t. 2, 1823, p. 376).
Rem. On rencontre dans la docum. le composé contre-buté. Feuilly, (...), avait contre-buté les barriques et le haquet de deux massives piles de moellons (HUGO, Les Misérables, t. 2, 1862, p. 327).
PRONONC. ET ORTH. :[byte], (je) bute [byt]. Homon. butée (plante), but(t)ée (constr.), but(t)er (tuer), butter (agric.). Écrit avec un seul t dans les dict. gén. dont Ac. 1798-1932; dans les textes, on rencontre parfois butter.
ÉTYMOL. ET HIST.
I.— 1. 1289 « (d'une terre) aboutir à, toucher à » (Cart. S. Sauv.-le-Vic., p. 27, Arch. Manche dans GDF., s.v. bouter) — 1606, NICOT; 2. 1539 « heurter le pied (contre qqc. de saillant) » (EST.); 3. 1636 pronom. fig. « s'opposer à qqn » (MONET, Invent. dans GDF. Compl.); 1690 (FUR. : ils sont buttez, [...] ils se buttent en toutes occasions); 4. 1690 part. passé, fig. (FUR. : Butté, signifie aussi, fixé à un certain point où on se tient opiniâtrement); 5. 1694 archit. (CORNEILLE : Buter. Contretenir, empescher la poussée d'un mur).
II.— 1560 fig. buter a + subst. « viser à » (PASQUIER, Recherches, VI, 9 dans GDF. Compl.); 1583 trans. « viser » (Cl. GAUCHET, Le Plaisir des Champs, l'Automne, Divers plaisirs, p. 280 dans HUG.); 1585 emploi abs. « tirer sur une cible » fig. (CHOLIÈRES, 6e Ap. Disnée, p. 230, ibid.); attesté dans les dial. comme terme de jeu (FEW t. 15, 2, p. 35b, 36a).
Dér. de but; II de but étymol. 3 a; dés. -er.
STAT. — Fréq. abs. littér. :412. Fréq. rel. littér. : XIXe s. : a) 29, b) 190; XXe s. : a) 685, b) 1 212.
BBG. — ORR (J.). Qq. étymol. scabreuses. Archivum linguisticum. 1949, t. 1, n° 1, p. 58.

1. buter [byte] v.
ÉTYM. 1500, Pasquier; « toucher à; aller jusqu'à » (en parlant d'une terre, d'une surface), 1289; de but.
———
I V. intr.
1 Vx. || Buter à : viser à (qqch., à faire qqch.).
1 Toutes mes volontés ne butent qu'à vous plaire.
Molière, l'Étourdi, V, 2.
2 Mod. || Buter contre : heurter le pied contre (qqch. de saillant). Achopper, chopper, cogner, heurter. || Buter contre une pierre, un rebord.
1.1 Adoum reste plié en deux de rire, parce qu'un de nos pagayeurs, pris de peur et voulant reculer, a buté contre une souche et roulé à terre.
Gide, Voyage au Congo, in Souvenirs, Pl., p. 852.
|| « Pour qu'ils (tes pieds) ne butent pas aux pierres » (Ramuz, in T. L. F.).
1.2 J'entendais ces accusations avec la rage de me sentir buter à un des endroits à partir desquels le chemin rustique et familier qu'était le caractère de Françoise devenait impraticable, pas pour longtemps heureusement.
Proust, À l'ombre des jeunes filles en fleurs, éd. Folio, p. 564.
Absolt. Broncher, trébucher.
2 Communément, il glissait, butait, bronchait, trébuchait de toutes les manières concevables et inconcevables, se cognait contre tous les murs (…)
France, le Petit Pierre, XXXII.
Fig. || Buter sur, contre, devant (une difficulté, etc.) : se heurter à (une difficulté). Broncher.
3 Dans la politique (…) l'Angleterre a résolu des problèmes sur lesquels ont buté tous les autres pays.
André Siegfried, l'Âme des peuples, III, p. 102.
3 (Sujet n. de chose). || Buter sur, contre : s'appuyer sur, être arrêté, calé par. || La poutre bute contre le mur.On trouve aussi la forme butter (1. Butter, 2.).
3.1 Le mouvement de la porte butait sur une chaise d'où s'écroulaient des dossiers.
Pierre Hamp, la Peine des hommes (Moteurs), p. 12.
———
II V. tr.
1 (1694). Archit. Soutenir, étayer. Appuyer, épauler. || Buter un mur, une voûte au moyen d'un arc-boutant, d'une butée, d'une culée.
2 Vx. Contrecarrer (qqn).
3 Mod. Réduire, acculer (qqn) à une position de refus entêté. Braquer. || Tu l'as buté, on n'en tirera plus rien maintenant.
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se buter v. pron.
1 Se heurter (à qqn, qqch.). || Se buter contre un mur. || Se buter à un obstacle, à une difficulté insurmontable. || Se buter dans une attitude boudeuse.
4 (…) je ne pouvais plus mettre le pied dehors sans me buter à des gens de connaissance (…)
Courteline, Boubouroche, II, 1.
2 Fig. Se fixer (à une résolution, à une attitude) avec obstination. Entêter (s'), obstiner (s'), opiniâtrer (s'). || Je me bute à cette idée.
Absolt (plus cour.). Braquer (se).
4.1 (…) il se butait là, il s'était obstiné à vouloir terminer tout, avant de repeindre la figure centrale (…)
Zola, l'Œuvre, p. 462.
5 Car le propre de la divinité c'est l'entêtement. Si l'homme savait pousser l'obstination à son point extrême, lui aussi serait déjà dieu. Voyez les savants, et les secrets divins qu'ils arrachent de l'air ou du métal, simplement parce qu'ils se butent.
Giraudoux, Amphitryon 38, III, 1.
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buté, ée p. p. adj.
ÉTYM. (1859, Monselet, in D. D. L.).
Entêté dans son opinion, dans son refus de comprendre. Entêté, obstiné, têtu. || Un enfant boudeur et buté. || Il est exclusif et buté dans ses opinions. || Buté comme une mule. || Esprit buté. Borné, étroit. || Un âne buté (→ Brusque, cit. 6).REM. L'adj. peut exprimer une attitude habituelle ou, au contraire, particulière à une situation. N'insiste pas, elle est butée.
Qui exprime cet entêtement. || Un visage, un air buté. || Une mine butée.
6 (…) ma tante Charles, également butée et complètement imperméable aux sentiments, pensées ou intentions d'autrui.
Gide, Journal, 18 sept. 1916.
7 Ils ne comprennent rien, ils sont là, butés, cette idiote et cet imbécile, à qui j'apporte des millions et qui au lieu de tomber à mes genoux comme je l'imaginais, discutent, ergotent (…)
F. Mauriac, le Nœud de vipères, II, 12, p. 143.
8 (…) il y avait en nous quelque chose d'irrémédiablement buté qui nous interdisait de faire confiance aux mots.
M. Yourcenar, le Coup de grâce, p. 243.
CONTR. Contourner, franchir (un obstacle). — Changer (d'avis, d'idée), renoncer. — (De buté) Changeant, versatile. — Ouvert, souple (esprit).
DÉR. Butant, bute, 1. butée. — V. Butoir.
HOM. 1. Butée, 2. butée, 2. buter, 1. butter.
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2. buter [byte] v. tr.
ÉTYM. 1821; de 2. butte, probablt sous l'infl. de 1. buter.
Argot. Tuer, assassiner. || Il s'est fait buter par des tueurs, par un gang adverse.
1 On va le buter, répéta La Pouraille, il est depuis deux mois gerbé à la passe (condamné à mort).
Balzac, Splendeurs et misères des courtisanes, Pl., t. V, p. 1057.
2 — Y a un mec qui s'est fait buter cette nuit Villa Saint-Marceau, un nommé Brignon…
H.-G. Clouzot et J. Ferry, Quai des Orfèvres (Scénario), 1947, in l'Avant-Scène, no 29, p. 26.
3 Tu leur aurais dit il y a un an : « Retourne au Basto ! Business elle est morte ! Fini Londres !… » Ils t'auraient buté Roi des folles !…
Céline, Guignol's band, p. 81.
4 (…) pourquoi prendre la peine de me buter, puisque je n'existe déjà pas ?
A. Sarrazin, l'Astragale, p. 115.
On trouve, plus rarement, la forme butter.
HOM. 1. Butée, 2. butée, 1. buter, 1. butter.

Encyclopédie Universelle. 2012.