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sabre

sabre [ sabr ] n. m.
• 1598; all. Sabel, var. de Säbel; hongr. száblya
1Arme blanche, à pointe et à tranchant, à lame plus ou moins recourbée. cimeterre, fam. coupe-chou, épée, yatagan. Sabre de cavalerie (vx latte) , d'abordage, d'infanterie. Sabre-baïonnette : sabre-poignard qui s'adapte au fusil et peut servir de baïonnette. Escrime au sabre. Sabre au clair ! Coup de sabre ( sabrer) . Loc. Traîneurs de sabre : militaires fanfarons et belliqueux. ⇒ bravache. Fam. Le sabre et le goupillon : l'Armée et l'Église.
2(par anal. de forme) Techn. Instrument servant à tondre les haies. Lame ou tringle métallique servant au sabrage. Came en forme de lame de sabre, dans certaines machines à vapeur. Instrument courbe servant à soulever le varech. Pêche des crustacés au sabre. Dérive très allongée de certains petits yachts.
Fam. Rasoir à main, à longue lame.
♢ EN SABRE : en forme de lame de sabre, légèrement courbe.
3Sport de l'escrime au sabre. Champion du monde de sabre.
4Poisson marin comestible (trichiuridés) au long corps rubané, à la peau dépourvue d'écailles. Sabre argenté.

sabre nom masculin (allemand Säbel, du magyar száblya) Arme blanche, droite ou recourbée, qui ne tranche que d'un côté. Familier et vieux. Rasoir à manche et à longue lame. En escrime, arme légère (500 g) présentant une coquille prolongée pour protéger le dessus de la main ; discipline utilisant cette arme. (Les coups portés avec la pointe et le « plat » de la lame, tranchant et faux tranchant, sont autorisés. La cible est constituée par les parties du corps situées au-dessus d'une ligne horizontale joignant le sommet des os iliaques.) Épée de cordier. Poisson marin comestible des eaux tempérées, à corps allongé et rubané, prédateur vorace, à denture forte. ● sabre (citations) nom masculin (allemand Säbel, du magyar száblya) Anatole François Thibault, dit Anatole France Paris 1844-La Béchellerie, Saint-Cyr-sur-Loire, 1924 Académie française, 1896 Quand l'homme qui témoigne est armé d'un sabre, c'est le sabre qu'il faut entendre et non l'homme. Crainquebille Calmann-Lévy Henri Monnier Paris 1799-Paris 1877 Messieurs ! ce sabre […] est le plus beau jour de ma vie. Grandeur et décadence de M. Joseph Prudhomme, II, 13, Prudhomme sabre (expressions) nom masculin (allemand Säbel, du magyar száblya) Le sabre et le goupillon, l'union de l'armée et de l'Église. Sabre d'abattis, sabre assez court, à large lame, utilisé pour se frayer un chemin à travers la brousse.

sabre
n. m.
d1./d Arme blanche à lame droite ou recourbée, tranchante d'un seul côté.
d2./d (Guad., Nouv.-Cal., oc. Indien) Coutelas (sens 1), machette.
(oc. Indien) Sabre à cannes, pour la récolte de la canne à sucre.
(Nouv.-Cal., Wallis-et-F.) Sabre d'abattis.
d3./d TECH Tringle qui sert à nettoyer la toison des ovins.

⇒SABRE, subst. masc.
A. — 1. Arme blanche à longue lame pointue, légèrement convexe du côté du tranchant dont la forme et la longueur varient suivant l'époque et le pays. Brandir, tirer un sabre; donner, recevoir un coup de sabre; sabre d'abordage, de cavalerie, de marine, d'officier; sabre de Damas; sabre cosaque, prussien; sabre au côté, à la main, au poing. Plonger son sabre jusqu'à la garde. L'infériorité des armes gauloises donna l'avantage aux Romains; le sabre gaulois ne frappait que de taille, et il était de si mauvaise trempe, qu'il pliait au premier coup (MICHELET, Hist. romaine, t. 1, 1831, p. 201). Deux officiers, sabre au clair, marchant de chaque côté du président. A son arrivée dans la salle, le président s'installe au fauteuil présidentiel (LIDDERDALE, Parlement fr., 1954, p. 122).
2. P méton., SPORTS. Discipline sportive d'escrime, art du maniement de cette arme. Faire du sabre. À l'épée et au sabre, le bras armé est lancé en avant jusqu'à rupture d'équilibre (Jeux et sports, 1967, p. 1434).
3. Loc. et expr.
a) Péj., vieilli. Traîneur de sabre. Militaire bravache et fanfaron; en partic., militaire par opposition à civil. Ces traîneurs de sabre (...) Ils se déguisent en bêtes fauves pour se faire peur entre eux, comme des Chinois! (AUGIER, Mme Guérin, 1865, p. 334).
b) Fam. Sabre de bois! [Juron] Mais, sabre de bois! s'écria l'ecclésiastique, comment voulez-vous qu'un individu pris dans le mariage puisse garder, par exemple, le secret de la confession? (FLAUB., Mme Bovary, t. 2, 1857, p. 189).
Au fig. Être un sabre de bois (p. allus. à la batte d'Arlequin). Être sans pouvoir, sans force. Qui veut se dresser devant moi et me grincer des dents à la face, en jurant que je ne suis qu'un sabre de bois, et que comme un absurde bambin j'ai mené ma hoste dans ce désert, confondant avec des histoires lues marches et batailles? (CLAUDEL, Tête d'Or, 1901, 3e part., p. 278).
c) Avaleur de sabre. Saltimbanque dont le numéro consiste à introduire, ou faire semblant d'introduire, un sabre dans son tube digestif. Les bohêmes dont il est question dans ce livre (...) ne se recrutent pas davantage parmi les montreurs d'ours, les avaleurs de sabres (MURGER, Scènes vie boh., 1851, p. 1).
Au fig. Personne qui a tendance à bluffer, qui cherche à en imposer. Appris la mort de Rodolphe Salis, l'avaleur de sabres littéraires et artistiques, le triste rodomont qu'il plut à Dieu de mettre au commencement de mes écritures, comme un avis paternel du néant de ce terrible labeur (BLOY, Journal, 1897, p. 244).
4. P. méton. [Symbole de la force des armes, du militarisme] Le sabre et le goupillon; la plume cède au sabre; le sabre, la soutane et la toge. Louis Bonaparte se hâta de se faire acquitter par les prétoriens complices. Après avoir massacré, le sabre vota (HUGO, Hist. crime, 1877, p. 66). Nous sommes au bord du crime final. Déjà Brisson n'existe plus, agenouillé sous le sabre. Je me refuse à croire que le peuple français hésite à exiger la justice au grand jour des criminels dont son aveuglement a fait ses maîtres (CLEMENCEAU, Vers réparation, 1899, p. 220).
B. — P. anal. Ce qui a la forme d'un sabre.
1. Partie d'une plante ou d'un élément anatomique ayant cette forme. L'éléphant avec ses grands sabres d'ivoire aux dents, dont le nez traîne, et qui se mouche sur son ventre, dans ses jambes (RENARD, Journal, 1902, p. 768). Le bossu, lui, se contenta de leur envoyer une poignée de graviers. Et toutes [les grenouilles] de plonger entre les sabres des glaïeuls (POURRAT, Gaspard, 1925, p. 237). En appos. Haricot sabre, pois sabre.
2. Objet, instrument en forme de longue lame; en partic., rasoir à main à longue lame. Se raser au sabre. Ce manche de couteau coûte 40 francs, ce sabre de médecin 200 francs (GONCOURT, Journal, 1889, p. 1024). La pose à joints vifs (...) conduit, en effet, à poser les lés bord à bord, ce qui implique un émargement très soigné (qu'on ne peut faire correctement qu'au rasoir ou avec un sabre spécial de poseur de papier.) (BONNEL-TASSAN 1966, p. 154).
3. Loc. adj. En coup, en lame de sabre. Qui rappelle la forme du sabre ou la blessure provoquée par un sabre. Pillerault (...) très grand, très maigre, avec des gestes saccadés et un nez en lame de sabre, dans un visage osseux de chevalier errant (ZOLA, Argent, 1891, p. 8). C'était Polichinelle! Celui dont nous nous moquions tous à cause de sa voix cassée (...) de son menton et de son nez, surtout, qui se rejoignaient sur une bouche en coup de sabre (VIALAR, Morts viv., 1947, p. 68).
C. — Argot
1. Membre viril. Même toute môme, Nini avait jamais été intéressée par le sabre (Pt Simonin ill., 1957, p. 255). Donner un coup de sabre. Synon. de sabrer (v. ce mot C). Les enfants nés du coup de sabre du samedi (A. LE BRETON, Malfrats and Co, 1971, p. 24 ds CELLARD-REY 1980).
2. Manger la soupe avec un sabre. Avoir une très grande bouche. Une bouche grande à faire croire que le prévenu mange la soupe avec un sabre (LARCH. 1872, p. 171).
REM. 1. Sabre-, élém. de compos. [Les mots constr. désignent certains types de sabres ou des armes proches du sabre par l'aspect, la fonction] a) Sabre-baïonnette, subst. masc. Sabre court à double courbure ayant une partie tranchante du côté du dos et pouvant s'adapter au canon d'un fusil. Devenu tout à fait furieux, ce sous-officier avait tiré son sabre-baïonnette et courait en répandant l'épouvante sur son passage (COPPÉE, Vingt contes nouv., 1883, p. 239). b) Sabre(-)briquet,(Sabre briquet, Sabre-briquet) subst. masc. Sabre d'infanterie et de l'artillerie à pied utilisé jusqu'au XIXe s., légèrement courbé avec un faux tranchant vers la pointe. Quelques hommes vêtus en paysans et armés d'un sabre briquet suspendu à un baudrier servent de gardes (DU CAMP, Hollande, 1859, p. 203). c) Sabre-épée, subst. masc. Sabre léger, presque droit, courbé uniquement à quelques centimètres de la pointe. Ils portaient le casque sans crins et la cuirasse de fer battu, avec les pistolets d'arçon dans les fontes et le long sabre-épée (HUGO, Misér., t. 1, 1862, p. 395). d) Sabre-poignard, subst. masc. Lame droite à deux tranchants (d'apr. BACH.-DEZ. 1882). 2. -sabre, élém. de compos. Canne-sabre, subst. fém. Canne fourreau servant à masquer un sabre. J'avais pris avec moi une canne-sabre (...) achetée à la vente Behrens, qui, dans un gourdin noueux, cachait une de ces lames magnifiques capables de faire sauter une tête d'homme comme un pavot (MORAND, Londres, 1933, p. 100).
Prononc. et Orth.:[], []. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. a) 1629 sable « arme blanche, à pointe et à tranchant, à lame plus ou moins recourbée » (ap. GIRAUD, L'Armement au moyen âge, t. 2, p. 87 ds GAY); 1647 sabre (CLEIRAC, Us et coustumes de la mer, Explication des termes de marine, p. 59); b) 1898 sports (La Vie au grand air, 1er juin ds PETIOT); 2. a) 1817 « la force militaire » (STAËL, Consid. Révol. fr., t. 2, p. 345); b) av. 1836 traîneur de sabre « militaire fanfaron et belliqueux » (A. CARREL, Œuvres, t. 5, p. 191 ds LITTRÉ); c) 1836 (GAUTIER, Mlle de Maupin, p. 24: Qu'importe que ce soit un sabre, un goupillon ou un parapluie qui vous gouverne! — C'est toujours un bâton); 1899 (CLEMENCEAU, Vers réparation, p. 80: la domination du sabre et du goupillon sur les esprits et sur les corps); 3. objets, instruments en forme de lame de sabre a) 1765 « instrument pour écrémer le verre » (Encyclop. t. 17, p. 141a-b, s.v. verrerie); b) 1842 « lame métallique servant à tailler les haies » (Ac. Compl.); c) 1870 haricot sabre (LITTRÉ); d) 1904 « tige métallique servant à opérer le sabrage des peaux de mouton brutes » (Nouv. Lar. ill.); e) 1964 « dérive allongée de certains yachts » (Lar. encyclop.). Empr. à l'all. Sabel (auj. Säbel), lui-même empr. au hongr. száblya, peut-être par l'intermédiaire du polon. szabla ou du russe sablja (FEW t. 17, p. 1; O. JÄNICKE ds Mél. Wartburg, 1968, t. 2, p. 441). Fréq. abs. littér.:1 433. Fréq. rel. littér.: XIXe s.: a) 1 858, b) 3 619; XXe s.: a) 2 707, b) 940. Bbg. COLOMB. 1952/53, pp. 471-472.

sabre [sɑbʀ] n. m.
ÉTYM. 1598; var. sable, déb. XVIIe; all. Sabel, var. de Säbel, du hongrois száblya.
A
1 Arme blanche, à pointe et à tranchant, à lame plus ou moins recourbée. Alfange, bancal, briquet, cimeterre, damas, épée, katana, latte, yatagan, et (fam.) coupe-choux. || Sabre turc, arabe, kabyle (cit. 1), japonais, chinois, hongrois, gaulois (cit. 1), français… || Sabre de cavalerie (→ Hérisser, cit. 32; mouvement, cit. 21; rabattre, cit. 11), de marine, d'abordage (cit. 1)… || Sabre poignard (à lame droite et à deux tranchants). || Sabre-baïonnette : sabre-poignard qui s'adapte au fusil et peut servir de baïonnette. || Sabre d'escrimeur. Espadon.(1964). || Sabre d'abattis ou d'abattage, servant à défricher pour se frayer un chemin en brousse. Machette. || Escrime au sabre. || Duel au sabre. Fig. || « La diplomatie française semblait impatiente de jouer du sabre avec le partenaire américain » (le Point, 21 août 1978). || Lame ( Coupant, plat, tranchant) et poignée d'un sabre. aussi Bélière, ceinturon, dragonne. || Le sabre au côté (→ Capucinade, cit. 1), sous le bras (→ État, cit. 93), à la ceinture (→ 1. Hymen, cit. 5), à la main (→ Jeter, cit. 13), au poing (→ Guerrier, cit. 2). || Sabre au clair ! || Coup de sabre. Sabrer (→ Assaillant, cit. 1; obliquement, cit. 1). || Plonger son sabre jusqu'à la garde (cit. 85).Sabre de bois d'Arlequin. Batte.Sabre de bois !, juron familier (menace ridicule, inefficace).
1 Allez voir si tous les poêles ronflent bien, vous autres ! Sabre de bois, notre monde va nous tomber sur le dos.
Balzac, les Employés, Pl., t. VI, p. 932.
2 Le miroir est l'âme de la femme comme le sabre est l'âme du guerrier. Proverbe nippon.
Claude Farrère, la Bataille, III, note 1.
3 (…) des cosaques, sabre au clair, chargeaient les manifestants (…)
Martin du Gard, les Thibault, t. VII, p. 65.
4 Puis il expliqua, avec des gestes, comment on formait les pans creux (…) passa au tranchant et à la cambrure (…) et c'est où déjà, suivant les armes, apparaissaient les différences, car la lame du sabre des dragons ou des carabiniers n'a point de cambrure, à la différence de celle du sabre des chasseurs, et surtout des hussards, qui est, de toutes, la lame la plus cambrée.
Aragon, la Semaine sainte, X.
tableau Principales interjections.
Allus. littér. || « Ce sabre est le plus beau jour de ma vie », paroles mémorables de J. Prudhomme, remerciant les jeunes artistes qui viennent de lui offrir un sabre d'honneur.
5 Messieurs ! ce sabre (…) est le plus beau jour de ma vie. Je rentre dans la capitale, et si vous me rappelez à la tête de votre phalange, messieurs, je jure de soutenir, de défendre nos institutions et au besoin de les combattre.
H. Monnier, Grandeur et Décadence de Joseph Prudhomme, II, 13.
Loc. péj. (V. 1830). Traîneurs de sabre : militaires fanfarons et belliqueux. Bravache. — ☑ (Vieilli). Bruit de sabre : menace de guerre, politique agressive (→ Bruit de bottes). → Écho, cit. 8.
Le sabre, symbolisant l'armée, le militarisme (cit. 2).Le sabre et le goupillon (cf. Le rouge et le noir, par allus. au roman de Stendhal). → Gouverner, cit. 30, Gautier.
6 J'ai peu de goût pour les gens de guerre en temps de paix. Je ne sais pas si je n'aime pas mieux encore les sabreurs que les traîneurs de sabre.
Hugo, les Misérables, IV, VIII, VII.
7 Ce jour-là, dès qu'il fut dehors, il se rappela son fils, le capitaine. À eux deux, ils auraient fait de si bonne besogne ! Mais il écarta le souvenir de cet imbécile qui préférait traîner un sabre.
Zola, la Terre, II, I.
8 (…) Rivarol (…) avait écrit : « Ou le roi aura une armée, ou l'armée aura un roi (…) les révolutions finissent toujours par le sabre : Sylla, César, Cromwell. »
Madelin, Hist. du Consulat et de l'Empire, « Ascension de Bonaparte », XX.
9 Les religieux, revenus d'exil, grâce à la guerre et à la victoire de 1918, n'avaient plus le même esprit. Toutes les équivoques qui liaient le trône à l'autel, le goupillon au sabre, furent sinon détruites, du moins fixées (…)
F. Mauriac, Bloc-notes 1952-1957, p. 54.
2 (1840). Par anal. (Techn.). Instrument servant à tondre les haies.Lame ou tringle métallique servant au sabrage.
Fam. Rasoir à main, à longue lame.
Techn. Came en forme de lame de sabre de certaines machines à vapeur.Instrument courbe servant à soulever le varech pour chercher les crustacés ou à sonder le sable. || Pêche au sabre.Instrument du verrier (techniques artisanales traditionnelles).
Appos. || Dérive sabre : dérive très allongée de certains petits yachts, qui se manœuvre par translation verticale.
En sabre : en forme de lame de sabre, légèrement courbe.
10 Les sièges usuels adoptent les pieds « en sabre » et les dossiers barrés d'une large traverse dite hémicycle (…)
Guillaume Janneau, le Mobilier français, p. 96.
(1870). Appos. || Haricots sabre, à grande gousse plate et recourbée. || Pois sabre, à gousse légèrement recourbée (opposé à en serpette).
3 (1930, en argot; par la métaphore fréquente du pénis comparé à une arme d'estoc). Coup de sabre : pénétration sexuelle.
B Par métonymie.
1 Lutte au sabre; sport de l'escrime au sabre (ou escrime de taille). || Championnat du monde de sabre. || Principaux coups au sabre : coup de taille, de contre-taille, coup de pointe.
2 Cavalier armé d'un sabre. || « 19 000 cavaliers dont 8 000 sabres » (Edmonde Charles-Roux, Elle, Adrienne, p. 362).
C Poisson marin comestible (Trichiuridés) au long corps en forme de ruban et à la peau dépourvue d'écailles.
DÉR. Sabrer.
COMP. Porte-sabre.

Encyclopédie Universelle. 2012.