gaulois, oise [ golwa, waz ] adj. et n.
• XVe; de Gaule, frq. °Walha « pays des Walh ou Romans »
1 ♦ De Gaule. Les peuples gaulois. ⇒ celtique; aussi gallo-romain. Poète gaulois. ⇒ 1. barde. Prêtres gaulois. ⇒ druide, eubage. Divinités gauloises. Braies gauloises. Torque gaulois. Loc. Moustache à la gauloise, longue et tombante. — N. Nos ancêtres les Gaulois. « Les aventures d'Astérix le Gaulois », bande dessinée de Goscinny et Uderzo.
2 ♦ De la France, qui a succédé à la Gaule. Le coq gaulois, symbole de la France.
♢ Fam. Qui est français de souche. — N. « gaulois de Neuilly et blacks-beurs de banlieue » (Le Nouvel Observateur, 1993).
3 ♦ N. m. Le gaulois : langue celtique parlée en Gaule. — Adj. Mots, substrat gaulois.
4 ♦ (XVIIe) Qui a une gaieté franche, rude, et un peu libre. L'esprit gaulois des fabliaux, de Rabelais. ⇒ rabelaisien. Histoire gauloise. ⇒ 1. gaillard, grivois, leste, licencieux; gauloiserie.
5 ♦ N. f. (1910) Cigarette, de tabac brun à l'origine, de la Régie française. Fumer des gauloises.
● gaulois nom masculin Langue celtique parlée par les Gaulois. ● gaulois, gauloise adjectif et nom De Gaule. D'une gaieté libre, licencieuse ; grivois : Histoire gauloise. ● gaulois, gauloise (citations) adjectif et nom Victor Hugo Besançon 1802-Paris 1885 La gaminerie est une nuance de l'esprit gaulois. Mêlée au bon sens elle lui ajoute parfois de la force, comme l'alcool au vin. Les Misérables Arthur Rimbaud Charleville 1854-Marseille 1891 J'ai de mes ancêtres gaulois l'œil bleu blanc, la cervelle étroite, et la maladresse dans la lutte. Une saison en enfer, Mauvais Sang Caius Julius Caesar, en français Jules César Rome 100 ou 101-Rome 44 avant J.-C. Si les Gaulois sont ardents et prompts à entreprendre une guerre, pour supporter les désastres leur esprit est mou et sans résistance. Ut ad bella suscipienda Gallorum alacer ac promptus est animus, sic mollis ac minime resistens ad calamitates perferendas mens eorum est. La Guerre des Gaules, III, 19 Tite-Live, en latin Titus Livius Padoue 59 avant J.-C.-Rome 17 après J.-C. Les Gaulois répondirent fièrement que leur droit était dans leurs armes et que tout appartenait aux braves. Cum illi se in armis jus ferre et omnia fortium vivorum esse ferociter dicerent… Histoire romaine, V, 36 Commentaire Les Romains avaient demandé aux Gaulois de quel droit ils réclamaient des terres à leurs propriétaires en les menaçant de leurs armes. Anonyme Nous ne craignons rien sinon que le ciel ne tombe sur nos têtes. Commentaire Ces paroles des Gaulois à Alexandre le Grand qui les interrogeait sur ce qu'ils craignaient le plus sont rapportées par Strabon. Dans son Anabase, Arrien en fait aussi mention. ● gaulois, gauloise (synonymes) adjectif et nom D'une gaieté libre, licencieuse ; grivois
Synonymes :
- coquin
- égrillard
- gaillard
- grivois
- leste
- osé
- polisson
- vert
gaulois, oise
adj. et n.
rI./r adj.
d1./d De la Gaule, des Gaulois.
d2./d Caractéristique de la France, de ses traditions (dans la continuité des Gaulois).
|| Coq gaulois, symbole de la fierté nationale des Français.
|| Qui a une gaieté gaillarde, un peu licencieuse. Plaisanterie gauloise.
rII./r n.
d1./d Habitant de la Gaule.
d2./d n. m. Langue celtique parlée par les Gaulois.
d3./d n. f. Cigarette brune très courante en France.
⇒GAULOIS, -OISE, adj. et subst.
A. — De Gaule.
1. (Celui, celle) qui habitait la Gaule. Chef gaulois; nos ancêtres les Gaulois. C'est le chêne, robuste, accueillant et gai, qui a fait le Gaulois (LEMAITRE, Contemp., 1885, p. 150).
— [En parlant d'une collectivité] Peuple gaulois; tribus gauloises.
2. (Ce) qui était propre à la Gaule, à ses habitants. Religion gauloise. Tout le vocabulaire géographique y est imprégné de ces vieux noms gaulois d'eaux et de hauteurs (VIDAL DE LA BL., Tabl. géogr. Fr., 1908, p. 211).
— Subst. masc. sing. Langue parlée par les Gaulois. Déclaration, rapidement débitée en cinq langues diverses, grec, latin, gaulois, libyque et baléare (FLAUB., Salammbô, t. 1, 1863, p. 41).
B. — [P. anal. d'aspect, de traits de caractère]
1. (Celui, celle) qui est censé(e) rappeler les Gaulois par l'aspect physique ou le caractère. Cette légèreté, cette inconséquence, nous venaient de loin, (...) nous demeurions toujours Gaulois (LAS CASES, Mémor. Ste-Hélène, t. 1, 1823, p. 472). Monsieur Dagincourt — un colosse trapu, bouclé, gaulois (VIALAR, Clos Trois Mais., 1946, p. 69).
♦ C'est un vrai Gaulois, un bon Gaulois. C'est un homme franc, sincère (Ac. 1798-1878).
2. [En parlant d'un inanimé] Qui est censé rappeler certaines caractéristiques physiques ou morales propres aux Gaulois. Probité gauloise. Franchise gauloise (Ac. 1798-1878). M. Barré, admirable de simplicité et de bonne humeur gauloise (BANVILLE, Gringoire, 1866, p. IV).
— Loc. À la gauloise. À la manière des Gaulois. Chaque siècle a sa façon de plaisanter. Le XVIIe siècle avait une manière un peu grosse, à la gauloise (...) celle de Molière (FEUILLET, Morte, 1886, p. 97).
♦ Moustache(s) gauloise(s) ou à la gauloise. Moustache(s) longue(s) et tombante(s). Ce nouveau venu avait (...) des moustaches blondes et grises à la gauloise, des yeux bleu pur (GIRAUDOUX, Bella, 1926, p. 104).
3. En partic., cour. [P. réf. au caractère fruste, léger, gai qu'on attribue aux Gaulois]
a) (Celui, celle) qui aime la plaisanterie, les grivoiseries, qui est licencieux. Une lorette est plus amusante que la Vénus de Milo! Soyons Gaulois, nom d'un petit bonhomme! Et Régence si nous pouvons! (FLAUB., Éduc. sent., t. 1, 1869, p. 74). Georges, (...) un vrai petit Gaulois qui se moque de tout (ROLLAND, J.-Chr., Nouv. journée, 1912, p. 1571).
b) [En parlant d'un inanimé] Qui se présente sous un jour libre, plaisant, grivois, licencieux. Esprit gaulois; plaisanteries gauloises. Devant les chenets de son feu, on doit toujours conter des histoires gauloises, impayables (BENJAMIN, Gaspard, 1915, p. 105).
♦ C'est gaulois. C'est comique, drôle :
• 1. Il m'a demandé de donner à ces Touareg une idée de la civilisation parisienne (...). Je vais retenir un cabinet (...) et dire à Gramont-Caderousse et Viel-Castel qu'ils amènent leurs folles maîtresses. Ce sera très gaulois de voir l'attitude des enfants du désert au milieu de cette petite partie.
BENOIT, Atlant., 1919, p. 215.
C. — Vieilli. [P. réf. à l'époque anc. où vécurent les Gaulois]
1. (Celui, celle, ce) qui appartient à certaines époques antérieures (Moyen Âge, Renaissance, parfois XVIIe siècle). Commines (...) le vieux seigneur gaulois (CHATEAUBR., Génie, t. 2, 1803, p. 97). Notre-Dame de Paris (...) la cathédrale gauloise (HUGO, N.-D. Paris, 1832, p. 130).
— En partic.
a) Subst. masc. sing. Langage parlé autrefois en France. (Dict. XIXe s.) :
• 2. ... quand une langue a eu plusieurs âges, comme la nôtre, les vieux livres sont bons à lire (...). Pour bien écrire le français, il faudrait entendre le gaulois. Notre langue est comme la mine où l'or ne se trouve qu'à de certaines profondeurs.
JOUBERT, Pensées, t. 2, 1824, p. 46.
b) [En parlant d'un inanimé] Écrit dans ce langage. Port-Royal (...) entreprit de les traduire [les Saintes Écritures] (...). Les traductions surannées et gauloises étaient imparfaites, difficiles d'ailleurs et de peu d'usage, à cause du grand changement survenu dans la langue (SAINTE-BEUVE, Port-Royal, t. 2, 1842, p. 355).
2. [En parlant d'un aspect du comportement, d'un mode d'expression] Vieux, archaïque. Tournure, expression gauloise. Avoir les manières gauloises (Ac. 1835, 1878) :
• 3. On m'a (...) conté que vous n'approuviez pas certaines vieilleries dans mon style. (...) peut-être (...) trouverez-vous mes façons de dire un peu gauloises (...) à leur place dans une version de ce vieux conteur Hérodote.
COURIER, Lettres Fr. et It., 1823, p. 915.
D. — [P. réf. aux limites géogr. de la Gaule qui recouvrait approximativement le territoire français]
1. Synon. de français. L'allemand en donnait-il à garder au parisien? Le germain se gaussait-il du gaulois? (HUGO, Rhin, 1842, p. 283) :
• 4. Vous planteriez, ô Melbournois!
Sur vos coteaux barbares,
Les plus fins de nos ceps gaulois,
Nos « pineaux » les plus rares...
PONCHON, Muse cabaret, 1920, p. 85.
2. Subst. fém. Cigarette de fabrication française, commercialisée sous ce nom. Un paquet de gauloises. La nuit redevint parfaite, épaisse comme un rideau, à peine trouée par (...) quelques points rouges de gauloises (H. BAZIN, Huile sur feu, 1954, p. 24).
REM. 1. Galles, subst. masc. plur. Synon. de Gaulois. Les Galles (...) avaient les pieds fort plats (SENANCOUR, Obermann, t. 1, 1840, p. 100). 2. Gallo, subst. masc. Dialecte français parlé dans l'est de la Bretagne. (Dict. XIXe et XXe s.). Certains dict. signalent des var. orth. du mot : gallot, gallec, gallek, gallais, gallic, gallou. Qq. dict. indiquent également que le mot peut être adj. et subst. avec les sens suiv. : « (Celui, celle) qui est originaire de l'est de la Bretagne »; [en parlant d'un inanimé] « relatif à cette région, à ses habitants, à leur parler ». Ils relèvent les formes fém. gallèse, gallote.
Prononc. et Orth. : [golwa], fém. [-wa:z]. Ds Ac. dep. 1694; ds Ac. 1694 et 1932 uniquement en tant qu'adj.; ds Ac. 1718-1878 en tant que subst. et adjectif. Étymol. et Hist. 1. a) 1155 subst. masc. Gualeis « Gallois » (WACE, Brut, éd. I. Arnold, 13927); b) 1155 gualeis « la langue galloise » (ID., ibid., 14745); c) 1285 walois « la langue d'oïl » (J. BRETEL, Tournoi de Chauvency, éd. M. Delbouille, 63); 2. a) ca 1205 adj. galois « gai, joyeux (en parlant d'un son) » (Renart, éd. E. Martin, branche 17, 1042); 1314 galoy « id. (en parlant d'une pers.) » (G. DU BUS, Fauvel, éd. A. Långfors, 1246); b) de nouv. 1640 gaulois « id. » (Anc. Th. fr., éd. Viollet-Le-Duc, t. 9, p. 222); c) 1844 « qui est d'une gaieté vive et assez libre » (Th. GAUTIER, Les Grotesques, X, p. 370 ds ROB.); 3. a) fin XIVe-début XVe s. Galois « habitant de la Gaule » (E. DESCHAMPS, Ballades de moralitez, CCLIII ds Œuvres, éd. Queux de St-Hilaire et G. Raynaud, t. 2, p. 91); b) 1671 adj. gaulois « grossier, du vieux temps, suranné » (LA FONTAINE, Contes, les Rémois, 39 ds Œuvres, éd. H. Régnier, t. 5, p. 68); 4. 1910 subst. fém. gauloise « cigarette de la Régie française des tabacs » (25 avr. 1910, date de lancement de cette marque de cigarettes ds Lar. Lang. fr.). De l'a. b. frq. walhisk « roman », dér. de walha « les Romans », cf. a. h. all. walahisc « roman ». En a. fr. galois se réfère surtout au celte, sans doute parce que le mot est très attesté dans le Roman arthurien (sens 1 a et b), mais il peut s'appliquer également au fr. dans les régions limitrophes aux parlers germ. (sens 1 c). Walha est devenu Gaule (1155, WACE, Brut, éd. I. Arnold, 9905) d'où le dér. gaulois (sens 3). Galois (sens 2), dér. de l'a. fr. galer « s'amuser, mener joyeuse vie » (v. galant), s'est trouvé en homon. avec le résultat de walhisk, ce qui sera la base de esprit gaulois, gauloiserie. Fréq. abs. littér. : 750 (gauloise : 155). Fréq. rel. littér. : XIXe s. : a) 1 659, b) 992; XXe s. : a) 1 286, b) 467.
gaulois, oise [golwa, waz] adj. et n.
ÉTYM. XVe; dérivé de Gaule, du francique Walha « pays des Walh (ou Romans) ».
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1 Adj. (XVe). De Gaule; relatif à la Gaule ou aux Gaulois. || Le sol gaulois. || Les peuples gaulois, la race gauloise. ⇒ Celte. || Les brenns, les vergobrets, chefs gaulois. || Les ambactes, guerriers gaulois. || Poètes gaulois. ⇒ 1. Barde (cit. 1). || Prêtres gaulois. ⇒ Druide, eubage, ovate, saronide. || Vêtements gaulois. ⇒ Braie, sagum, sayon.
1 L'infériorité des armes gauloises donna l'avantage aux Romains; le sabre gaulois ne frappait que de taille, et il était de si mauvaise trempe qu'il pliait au premier coup.
Michelet, Hist. de France, I, I.
♦ (Fin XIXe). || Moustaches gauloises, longues et tombantes. — N. f. || Moustache à la gauloise.
2 (…) de longues moustaches châtain clair, tombantes, à la gauloise.
Gide, Si le grain ne meurt, I, X.
♦ Français (en tant que descendant des Gaulois). || Le coq gaulois, symbole de la France (depuis la Révolution française, à la faveur de la ressemblance entre gallus « coq », et gallicus « gaulois », en latin).
3 Mais c'est le coq gaulois qui réveille le monde :
Et son cri peut promettre à votre nuit profonde
L'aube du soleil d'Austerlitz !
Hugo, Odes, III, VII, 4.
4 (…) la race gauloise, même à ses instants les plus poétiques, manque de réserve et de chasteté : voyez Voltaire, Molière, La Fontaine, et Rabelais et Villon, les aïeux. Ils ont tous le coin par où l'on nargue le sublime, et d'où l'on fait niche au sacré tant qu'on le peut.
Sainte-Beuve, Causeries du lundi, 15 juil. 1850, t. II, p. 291.
5 Avant moi (François Ier), tout était grossier, pauvre, ignorant, gaulois.
Fénelon, Dialogues des morts, Louis XII et François 1er.
3 (1640). Mod. Qui a une gaieté franche et un peu libre. Spécialt. || Histoire gauloise. ⇒ Égrillard, épicé, gaillard, grivois, leste, licencieux; gauloiserie. Caractéristique de la littérature bourgeoise (contes, fabliaux) du moyen âge et du XVIe siècle, d'un ton libre. || L'esprit gaulois des fabliaux, de Rabelais, des « Contes » de La Fontaine.
6 Une bouffonnerie toute gauloise se sauve par son énormité (…)
Beaumarchais, le Barbier de Séville, Notice.
7 C'est là que brille dans tout son éclat le véritable esprit gaulois, et il est à regretter que le cant anglais, qui s'est introduit dans nos mœurs, nous prive de ces bonnes farces un peu grasses où le drolatique de l'expression fait oublier la licence du détail.
Th. Gautier, les Grotesques, X, p. 370.
8 (…) son esprit est réellement français, — gaulois même, — sans mélange d'élément étranger, c'est-à-dire un esprit tempéré, enjoué, malin, d'une sagesse facile, d'une bonhomie socratique, entre Montaigne et Rabelais, qui rit plus volontiers qu'il ne pleure, et cependant sait à propos mouiller le sourire d'une larme (…)
Th. Gautier, Portraits contemporains, Béranger.
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II N.
1 a Un Gaulois, une Gauloise : habitant, habitante de la Gaule. — REM. Le fém. est rare à cause de la fréquence du sens 2. || Les Gaulois cisalpins, transalpins. || Les Gallo-Romains issus des Gaulois et des Romains. || La cervoise, boisson traditionnelle des Gaulois. ☑ « Nos ancêtres les Gaulois », phrase traditionnelle du début des livres d'histoire des jeunes Français (parfois évoquée ironiquement, la phrase ayant été employée dans l'enseignement dans les anciennes colonies françaises, où elle était ridicule). — Collectif. || La bravoure légendaire du Gaulois.
♦ N. m. (1690, Furetière). || Le gaulois : la langue celtique qui était parlée en Gaule (→ Breton, cit. 2). || Le gaulois appartenait au groupe des langues celtiques.
➪ tableau Classification des langues.
b Fam. (Langage des jeunes). Français de souche (par oppos. à immigré). || « Des Cap-Verdiens, des Cambodgiens, des Vietnamiens, et des “Gaulois”, comme on appelle ici les Français de souche, chassés vers la périphérie par le chômage et la misère » (le Nouvel Obs., 24 nov. 1994, p. 12).
2 N. f. (1910). || Gauloise : cigarette de tabac brun de la marque de ce nom, fabriquée par la Régie française des tabacs. || Un paquet de gauloises. || Une gauloise filtre. || Il fume des gauloises.
9 Schneider fume en cachant sa cigarette dans sa main à cause des sentinelles. Il sort un paquet de gauloises, il le tend à Brunet. « Une cigarette ? (…) »
Sartre, la Mort dans l'âme, p. 216.
10 Je l'ai vue descendre du taxi, devant la cantine, la canne à la main, une gauloise aux lèvres et, sous le regard goguenard des troufions, elle m'ouvrit ses bras d'un geste théâtral, attendant que son fils s'y jetât, selon la meilleure tradition.
R. Gary, la Promesse de l'aube, p. 15.
11 C'est à peine si, de temps en temps, il s'accorde d'allumer une gauloise, tout en surveillant la bobine.
André Hardellet, Lourdes, lentes…, p. 180.
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DÉR. Gauloisement, gauloiserie. — V. Gallo.
Encyclopédie Universelle. 2012.